Mercredi 14 mars
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19:21
Carla est une de mes meilleures amies. Elle est aussi exhibitionniste que moi et aime aussi beaucoup le sexe. C’est son expérience de l’autre jour que je vais raconter.
Nous étions dans le TER ; celui-ci était bondé ce vendredi soir de retour à Marseille.Nous étions tassés comme des sardines et il faisait une chaleur à crever.
Carla est en face de moi et nous sommes pratiquement collées l’une à l’autre. Tout autour de nous nous avons des corps inconnus qui nous cernent de près
L’avantage ou l’inconvénient du TER c’est que contrairement au métro les trajets entre deux arrêts sont beaucoup plus longs. La chaleur suffocante nous conduit tant bien que mal à nous débarrasser de nos manteaux. Carla comme moi étions en jupe mi-cuisses (la mienne en jean, celle de Carla en tweed plissé) J’avais un léger pull à col roulé et Carla un chemisier boutonné sur le devant un peu juste avec sa forte poitrine.
J’adore d’ailleurs sa poitrine généreuse et pulpeuse que je caresse souvent quand nous sommes en intimité.
Soudain Carla me dit tout bas :
-il y a un type derrière moi qui me colle de façon très sensible et je sens qu’il bande entre mes fesses
.Cela arrive effectivement souvent dans les transports en commun. Elle me demande comment il est physiquement et je lui en fait une description assez élogieuse. Grand, allure sportive la quarantaine sémillante, visage carré, yeux bleus qui me regardent effrontement.
Le profil que j’en ai dressé doit lui plaire car au lieu de se rapprocher encore plus de moi, Carla s’en éloigne et se penche en avant. Ceci a pour conséquence de bien appliquer les fesses de Carla sur le ventre de l’inconnu. Celui ci tout en me regardant avec un léger sourire remonte la jupe de Carla jusqu'à sa ceinture. Je suppose qu’au vu des contorsions l’homme est en train de se dégrafer. Effectivement Carla me dit
-il vient de sortir son sexe, je le sens très bien à travers le tissu de ma culotte
Eh oui, contrairement à moi, Carla met toujours une culotte pour sortir. La voilà donc punie pour sa pudeur. Elle ne peut pas sentir ce beau mâle sur ses fesses !
C’est alors qu’elle me dit. :
-Rends-moi service, j’ai des ciseaux dans mon sac, prends les et coupe la culotte sur le coté, cela te sera plus facile qu’à moi !
je lui réponds, :
-mais tu ne vas quand même pas te faire enfiler comme ça par un inconnu ?
- non, -dit elle-je veux simplement qu’il jute sur moi
Après avoir coupé le tissu, l’homme a effectivement entrepris un mouvement léger contre Carla.
L’entourage semblait ignorer la situation, je ne savais pas s’il était en elle ou pas.
Puis Carla a rapproché son visage, elle semblait évaporée de bonheur. Elle m’a demandé de l’embrasser.
Elle enfonce sa langue dans ma bouche, et à ce moment j’entends un bruit de tissu qui se déchire. L’homme vient d’arracher les boutons du chemisier de Carla en glissant ses mains pour lui pétrir les seins. Il descend le malheureux soutien gorge. Sa poitrine ballote sous les coups de hanche de l’homme qui a remis ses mains sur la croupe de Carla. La situation maintenant ne prête plus à confusion. Il la baise. Elle respire très fort et je redoute qu’elle n’explose son orgasme par un cri violent car Carla est une bruyante. Pour éviter qu’elle ne crie c’est moi qui l’embrasse en mettant ma langue dans sa bouche. Puis tout s' arrête., le train aussi d’ailleurs. les voyageurs sont descendus,l’homme avait disparu et Carla avait sa jupe maculée de foutre.Il avait eu quand même la correction de se retirer au bon moment.
Il y a quand même des gentlemen,non ?
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