Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:32

Promenade sans culotte


Après le séjour en camping, je suis retournée à Barcelone, il fallait que je trouve un boulot. J’avais loué un studio, grâce à l’argent prêté par ma tante. J’étais un peu désœuvrée et m’ennuyais ferme Je ne sais pas si c’était le traitement que j’avais.subi en camping, mais j’avais encore grossi, surtout de la poitrine et j’avais mis une petite robe courte qui devenait très moulante surtout au niveau du ventre que je ne cachais pas

 

J’étais à la terrasse d’un café et à la table voisine il y avait un couple. L’homme était assis en face de moi et la femme me tournait le dos. Si l’homme était insignifiant un genre cochonou, la femme elle était une grande brune élancée, par contre Cochonou n’arrêtait pas de regarder mes jambes. C’est vrai que j’avais une culotte mais ma robe était courte et j’avais toujours la mauvaise habitude de ne pas serrer les cuisses. Une envie d’exhibition m'a pris au ventre,et que je ne pourrais expliquer, je me suis levée tout en ayant bien pris soin de bien écarter les cuisses devant Cochonou et me dirigeai vers les toilettes, j’otais mon slip et je revins à la table en y déposant ma culotte dessus et ouvris bien les cuisses.

Cochonou n’en revenait pas il avait le regard littéralement scotché sur mon entre-jambe et je sentais que cela me plaisait bien. Evidemment son regard insistant n’etait pas sans étonner sa femme qui se retourna et me vit dans cette position, je lui souris, mais pour toute réponse elle lâcha "Quelle salope ".

 

 Puis ils quittérent la table l’homme avec un petit sourire en coin. Par contre j’ai eu le temps de voir le visage de la femme , je l’ai bien regardé partir et je la trouvai très belle. N’ayant rien à faire de particulier et laissant ma culotte sur la table je les suivis de loin. Ils prirent le bus direction l’extérieur de la ville, là où il y a beaucoup de campings.

 A la descente du bus je leur laisse prendre de la distance, ils rentrent dans le deuxième camping et se dirigent vers la 3eme allée, là où il y a beaucoup de caravanes. Je les vois rentrer dans l’une d’entre elle. C’était ce que je voulais, savoir : où ils habitaient !

 


Puis quelques minutes après, ne sachant que faire, je vois Cochonou sortir avec une paire de boules de pétanque, un bob Ricard sur la tête, le parfait beauf.. Pendant qu’il s’éloigne je me rapproche de la caravane, je vois la femme qui plie des vêtements, je lui dis "

- coucou, on fait des tâches ménagères pendant que Cochonou va faire une pétanque ? " Elle éclate de rire et me dit

-" Comment tu l’as appelé, Cochonou ? "

Et elle repart d’un grand rire Nous avons discuté et sympathisé.

 

 Pendant trois jours nous nous revoyons régulièrement avec ou sans Cochonou qui était en général derrière ou devant. Une grande complicité s’était installée. Elle s’appelait Sandrine Un après-midi pendant lequel Cochonou était parti à la pèche, elle me pose la question que j’attendais

-"et tu ne portes jamais de culotte ? "

Je lui ai expliqué les raisons multiples de mon choix, sensation de légèreté, de liberté de mouvement, part d’exhibitionnisme, sentiments d’excitation, désirs de provoquer, sentiments de puissance devant les hommes qui sont souvent interloqués au premier abord.

-" Et bien on va essayer dit elle en enlevant son string noir. " Elle s’est levée et nous sommes parties faire les magasins.

 

Finalement elle a trouvé cela très excitant et agréable. Elle avait une jupe courte légère un peu évasée et je pensais qu’heureusement pour elle ce premier jour il n’y avait pas de vent. On passe devant un magasin de chaussures, il y avait une vendeuse en mini accroupie et elle me dit "

tu penses qu’elle aussi a une culotte ?

" Je lui réponds,

-"va vérifier.

-" Oui, mais elle va voir que je n’en ai pas ?

Je le lui réponds "

eh! alors, ce sera ta première exhibition et tu pourras voir si cela t’as plu. !

 

Effectivement une fois que le dernier client que servait la vendeuse fut parti, Sandrine s’est assise à sa place avec une paire de chaussure à essayer. Ce que n’avait pas prévu Sandrine c’est que la banquette était en face d’un miroir et que ce miroir se reflétait dans la vitrine, si bien qu’étant à l’extérieur de la boutique on pouvait très bien distinguer l’entrejambe poilue de Sandrine, quand la vendeuse n’était pas devant.

Alors pour les badauds qui venaient admirer les chaussures, en regardant à l’intérieur du magasin c' était une autre vision. Ils attendaient patiemment que Sandrine ouvre les cuisses en essayant les chaussures et pouvoir admirer son petit minou poilu. La vendeuse qui devait en avoir vu d’autres ne manifestait aucun étonnement.

Finalement en sortant, Sandrine était très étonnée de voir tant de monde devant la boutique surtout sous le regard dédaigneux de quelques femmes et le regard admiratif des hommes. Elle m’a demandé de lui expliquer la situation, et comprenait qu’elle s’était ainsi sans le savoir exhibée devant plusieurs hommes et femmes.

 

On arrivait près de la gare, il y avait un sexe shop, j’ai acheté un gode, Sandrine m’a demandé pour quoi faire, je lui ai dit

-"tu verras plus tard. "

 Cela parut la satisfaire et je me doutais bien que la sexualité avec Cochonou devait être très triste. Par contre pour traverser les voies devant la gare, il y avait une passerelle, elle s’y dirigea volontairement et monta les marches, à la dernière elle s’arrêta une jambe sur une marche l’autre sur celle d’en dessous. Quand j’ai vu des gens en dessous qui attendait le train’j’ai compris son jeu. Elle voulait que les voyageurs la voient sous toutes les coutures.

 Elle était méconnaissable les yeux embuées dans le vague essayant toujours d’écarter le plus possible les cuisses. Moi qui étais déjà au même niveau qu’elle je savais que rien qu’en étant debout ils pouvaient aisément voir que nous n’avions pas de culotte. Bien entendu la station prolongée et la posture de Sandrine firent qu’un groupe d’hommes se concentra juste en dessous nous. Suffisamment excitées, nous traversons ensuite la passerelle pour aller sur le quai du TER .Comme deux zombies on pénétra dans le premier sans savoir ou il allait et sans billet (et sans culotte.)

C’était un vieux train à compartiments. On passait ainsi devant toutes sortes de stéréotypes, femmes avec enfants qui braillent, vieux qui toussent avec leurs chiens, beaufs qui mangent un sandwich à l’échalote, puis on passe devant un compartiment dans lequel il y avait quatre jeunes de banlieues qui évidemment s’empressent de siffler et de faire des commentaires Sandrine ne voulait pas entrer, mais je la poussais fermement. Les garçons nous laissèrent une place de chaque coté au milieu, si bien que nous étions toutes les deux entourées.

 

Sandrine était assise crispée, les jambes serrées Comme ils ne savaient pas quoi dire hormis des banalités, je me lève et soulève la jupe de Sandrine en disant

-"vous avez vu cette salope, elle ne met pas de culotte "

En plus en me penchant pour soulever celle de Sandrine, les deux autres pouvaient également voir que je n’en portais pas non plus. Alors des mains se sont mises à nous peloter à nous retrousser. Je me suis allongé sur la banquette jambes ouvertes soumises et offertes comme j’aime le faire quant la situation me plait. Sandrine par contre se débattait et criait, si bien qu’en désespoir de cause, les deux autres garçons après avoir fermer le compartiment sortirent également leurs queues en s’approchant de moi. Un m’avait enfilé, j’en suçai un deuxième pendant que les deux autres me pelotaient les seins en se masturbant.

 

 Je regardais Sandrine bouche bée qui me disait la phrase qui me touche tant

-"mais t’es une vraie salope "

C’est celui dans mon sexe qui a joui le premier il s’est retiré en laissant une traînée de foutre sur mes cuisses pendant qu’un deuxième s’installait à la place.je pense qu à l’époque je ne devais pas faire de bonne pipe car c’est de nouveau celui qui était dans ma chatte qui a encore éjaculé. Finalement le troisième s’est installé en disant avec plein de poésie

-"mais c’est un garage à bites cette pute là. "

 Celui que je suçais m’a balancé une rasade de sperme à travers la figure. Le train arrivait en gare, les garçons sont sortis en disant à Sandrine qu’elle devait regretter de ne pas en avoir goutté, mais je pense qu’elle n’était pas encore prête à ce genre de situation.

incroyable une perversité pareille!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:27

Les vacances en camping

J’ai revu ma mère une fois avant de sortir du pensionnat, j’avais 17 ans et je lui ai demandé la pilule. Elle a satisfait immédiatement à mon désir en me disant de bien en profiter car cela était merveilleux, mais que par contre la première fois il fallait être patiente. J’ai failli lui parler de mes expériences avec les autres filles mais finalement je me suis retenue, ne sachant si cela ne l’aurait pas contrariée de savoir sa fille lesbienne, alors qu’elle multipliait les conquêtes masculines
Tout à une fin et l’année en pensionnat étant achevée, je partis en vacances chez ma tante dans un petit village à coté de Barcelone. , Ma mère n’avait pas donné de nouvelles et ma tante avait une opinion plutôt négative d’elle. Elle la traitait de traînée et de femme facile. Heureusement que ma tante ne se rendait pas compte que je prenais le même chemin.

 


J’avais rencontré quelques garçons, mais c’est vrai qu’ils étaient maladroits et les situations n’étaient pas excitantes du tout. Un jour avec quatre copains avec qui j’avais plus ou moins flirter, Antonio avec qui j’ai couché deux fois mais sans suite véritable, Domingo un grand marrant à lunettes, Lucas un plus petit malicieux un peu pervers qui m’a sauté une fois et qui voulait que je fasse la pute pour lui, et Sébastian que je ne connaissais pas mais qui était un copain de Lucas, on avait décidé de partir en camping pendant quelques jours au bord d’une rivière dans les montagnes environnantes car il faisait très chaud

 

J ‘avais d’abord rencontré les trois premiers au bord de l’étang près de chez nous. Un jour où il faisait une température caniculaire et que je me promenais près de l’étang j’ai entendu des bruits de garçons qui se baignaient. Ils parlaient forts et à un moment l’un a dit " on joue à la mouche ? ", Intriguée car je ne connaissais pas ce jeu et que j’avais aussi envie de voir les garçons en maillot. Mais à ma grande surprise après avoir effectivement attrapé des mouches sur la berge, ils leur enlevèrent leurs ailes et chacun avait une mouche enfermée dans la main. Ils retirèrent leurs maillots, Lucas bandait énormément, Antonio et Domingo pas vraiment.

 Ils s’allongèrent au bord de l’eau de manière à n’avoir que le sexe et la tête hors d’eau. Les trois garçons bandaient et ils déposèrent la mouche en haut du gland là où la peau est retroussée.. Après quelques échanges verbaux que je n’entendais pas, le silence se fit et la sensation qu’ils ressentaient devait être agréable car Lucas fut le premier à lancer un jet de foutre qui projeta la mouche dans l’eau. Les autres suivirent ensuite ; C’était la première fois que je voyais des garçons nus et en plus qui éjaculaient, j’étais fascinée.

 


Donc nous avions décidé de faire une randonnée et d’aller camper près de la rivière. Nous partions à pieds, la distance à parcourir n’étant que de 10 km environ. Arrivée la-bas la première chose fut de prendre un bain dans la rivière car nous avions beaucoup transpiré par cette chaleur. Comme l’endroit était très calme et isolé, je n’ai pas hésité en m’éloignant des garçons à me baigner toute nue. Je les entendais au loin chahuter et je me demandais s’ils allaient renouveler le jeu de la mouche. Je décidais donc de sortir de l’eau j’enfilais seulement un grand T shirt qui m’arrivait à mi-cuisses et allais les rejoindre. Eux étaient nus également mais jouaient à s’asperger et aucun ne bandait.

 Je me suis arrêter sur un rocher en surplomb les jambes légèrement écartées pour ne pas perdre l’équilibre. C’est quand j’ai vu leurs regards que j’ai compris l’ambiguïté de la situation.ils avaient par-dessous une vue imprenable sur mon intimité et encore une fois plutôt que de m’éloigner de resserrer les jambes, je restais planté devant eux avec plaisir. Une douce chaleur s’est installée dans mon bas-ventre et j’aimais être regardée et exciter ces quatre garçons.


Donc en plus d’être lesbienne je devenais exhibitionniste

Bien surs les garçons étaient subjugués,par la vue que je leur procurai et je vis petit à petit leurs membres se dresser. Devant leur inertie et leurs stations figées j’ai tourné les talons et suis revenu à la tente. Ils m’ont rejoins, ils avaient remis leurs shorts, par contre d’un commun accord ils m’ont bien sur demandé de rester dans ma tenue. L’idée m’a paru excellente dans la mesure ou il faisait chaud et que de plus cela évitait de faire sa propre lessive.


Par contre le soir c’était plus délicat pour dîner. Etre assise en tailleur avec un T shirt sans rien, cela focalisait le regard des garçons entre mes cuisses. Lucas et Sébastian ont enlevé leurs shorts et sont venus près de moi, leurs sexes droits en érection. Les deux autres garçons rigolaient. J’étais comme au pensionnat, paralysé non pas par la peur, mais par un feu dans mon ventre. Je n’étais capable d’aucune réaction j’attendais entièrement soumise à leur bon vouloir. Lucas m’a mis sa verge dans la bouche et Sébastian m’a mise à quatre pattes pour me pénétrer. Les autres ne riaient plus et se sont rapprochés et lorsque Lucas s’est retiré après avoir explosé dans ma bouche il a demandé à Domingo de le remplacer. Et après que Sébastian a joui en m’inondant le vagin, il s’est retiré pour laisser la place à Antonio. J’ai joui plusieurs fois au cours de la nuit, mais c’était surtout ma situation de salope soumise qui m’excitait le plus. Après que les garçons aient tous déchargés, je me suis allongée sur le dos les jambes ouvertes et j’avais conservé mon Tshirt. Je fermais les yeux et ma position me rappelait l’internat sauf qu’à présent j’avais du sperme plein la figure et des traînées commençaient également à sortir de mon vagin. La vue de cette situation redonna vigueur aux garçons qui en alternance ont repris ma bouche et mon sexe. Lucas m’a même baisé trois fois

 


A la fin je n’en pouvais plus, cela me faisait mal et j’ai mis la main sur mon sexe pour éviter toute pénétration. Le matin l’odeur de sexe et surtout du mien me fit aller directement à la rivière pour me nettoyer. J’ai dû même laver mon Tshirt, Lucas s’étant masturbé dessus pendant que je dormais.


Bien sur les journées suivantes se sont déroulées de la même manière, ils n’étaient jamais rassasiés


J’ai ainsi pris mon premier baptême d’hommes et goûté les joies de l’éjaculation et du sperme 

j'aimerai un peu plus d'enthousiasmes pour les commentaires ou alors je m'inscris à un club de bridge et ferme ce blog!!!!!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:20

Le pensionnat

Au début ce qui m’a manqué le plus au pensionnat, c’était l’affection. Ne voyant que très rarement ma mère j’étais en manque de bisous et de caresses. Petit à petit je me suis rapprochée de Maria qui était de deux ans mon aînée. J’aimais bien me pelotonner auprès d’elle le soir, elle me caressait les cheveux et me faisait des tendres bisous sur la joue. Au début donc elle remplaçait ma mère par l’affection quelle me donnait. Au cours des années je me rendais compte de son changement physique, ses seins se développaient, au lavabo (car il n’y avait pas de douche encore dans ce pensionnat), je pouvais apercevoir la pilosité naissante de son pubis. Elle m’apprenait petit à petit et tout doucement ce qu’était un corps de femme. Elle avait déjà 15 ans et moi 13.Ses caresses et ses baisers se faisaient plus précis. Elle me caressait volontiers le ventre, les cuisses et m’embrassait le coin de la bouche.


J’aimais cette complicité et également reposer ma tête sur sa poitrine qui devenait importante. Elle ne jouait plus le rôle d’une mère mais plutôt d’une amie d’une confidente. Moi également ma morphologie changeait. A 16 ans j’avais déjà une belle poitrine et une toison bien brune. Mes hanches n’étaient pas aussi larges que maintenant. Par contre les caresses de Maria se faisaient plus précises et ne me laissaient pas indifférente. Elle caressait volontiers mes seins et si nous étions seules elle les couvrait de baisers et s’attardait également à caresser mon pubis et le couvrir de baisers sans jamais le pénétrer.


Je dormais la nuit toujours sur le dos, nous avions toutes une chemise de nuit blanche en coton qui s’arrêtait aux genoux –rien d’érotique-Mais il faisait tellement chaud que je dormais la combinaison remontée à la limite du pubis et les jambes légèrement ouvertes.

Une nuit un glissement s’est produit au bas de mon lit et j’ai senti une bouche m’embrasser le bas des jambes puis remonter doucement tout en continuant les bisous. Une chaleur intense que je n’avais jamais connue jusque là m’envahit. Je fermai les yeux et reconnus les caresses de Maria. Alors qu’elle remontait au-dessus des genoux en s’insinuant entre mes cuisses qu’elle continuait à embrasser, je lui facilitai le passage en relevant les jambes et en les écartant davantage. Elle se dirigea vers mon sexe et le contact de sa langue fut une véritable décharge électrique. Je ne pouvais plus penser, seulement jouir de l’instant. Pendant au moins une demi-heure elle me suça les seins,et le sexe. Quand elle se rapprocha pour m’embrasser la bouche je sentis l’odeur de mon sexe et je trouvai cela très agréable. C’est ainsi que j’ai pu me rendre compte que mes secrétions étaient exquises et j’ai compris pourquoi par la suite beaucoup de personnes aimaient me sucer avec délectation. !


Cela a duré plusieurs mois, mais c’était toujours elle qui prenait l’initiative. Elle voulait bien que je la caresse, surtout les seins mais ne voulait pas que je la suce. Je n’ai jamais su pourquoi d’ailleurs, peut être un sentiment maternel refoulé ? . En tout cas je gémissais toutes les nuits et mes copines de chambrée se mettaient l’oreiller sur la tête, énervées d’entendre mes râles

 


Puis un jour Maria  partit dans sa famille pour quelques jours. Je restai au pensionnat et me sentis bien seule. La première nuit, je m’apprêtais à m’endormir, quand je sentis le glissement d’une tête entre mes jambes. Rapidement une bouche alla directement à mon minou, après m’avoir écarté les jambes.

 Je fermai les yeux et me laissai faire et l’excitation vint très vite en me demandant qu’elle etait la pensionnaire qui se permettait de me goûter sans me le demander. Je me surpris à rester disponible à la caresse de l’inconnue, mais il est certain que ce ne pouvait être Maria, ce n’etait absolument pas sa façon de faire.

 Je me mis à jouir fort de l’excitation de la situation et ma voisine de lit qui pensait dormir tranquille après le départ de Maria ne put s’empêcher de dire "encore, mais tu es une vraie salope !!! "J’ouvris un oeil, ce qui me permit de constater  dans la pénombre que l’inconnue qui me sucait se masturbait en même temps.

Nous jouissions toutes les deux très fort presque en même temps. L’inconnue  repartit ensuite sans un mot au fond du dortoir, si bien que je n’ai pus savoir qui c’était. Le scénario se répéta les nuits suivantes, j’attendais les cuisses écartées et la chemise de nuit complètement retroussée qu’une inconnue me suce en se masturbant. J’avais le feu au ventre en attendant la tête qui allait s’enfouir dans mon sexe.

Rien que d’imaginer qu’elles pouvaient être plusieurs, qu’elles allaient venir à tour de rôle me rendait folle. Mais c’était la même inconnue qui venait je la reconnaissais à ses manières directes de se précipiter dans mon intimité et l’explorer brutalement en me pétrissant les seins. Je crois avoir reconnu Isabel, une grande fille élancée avec très peu de poitrine et très peu de pilosité.

 


Le quatrième jour, Maria est rentrée de nouveau au pensionnat, nous avons parlé de son séjour dans sa famille, mais je ne lui ai rien dit sur mes aventures nocturnes.


Le soir j’attendais écartée et retroussée que l’on vienne me lécher comme j’aime tant. Un léger bruissement puis aussitôt une bouche sur mon sexe, je reconnais Isabel. Je suis très surprise de la situation, mais laisse évidemment l’histoire suivre son cours. C’est au moment où nous commencions à jouir en poussant des petits cris d’extase que Maria est arrivée. Elle m’a traité de petite pute, de tous les noms et m’a dit que j'allais être punie d’être une petite jouisseuse que n’importe qui pouvait posséder.. Tout en laissant Isabel continuer à me lécher, elle monta sur le lit et se mit à califourchon sur ma figure, son sexe devant ma bouche et mes narines. Et là je dois dire que l’odeur était difficilement soutenable, un mélange de transpiration et d’urine une odeur acre. Mais Maria semblait déchaînée et se frottait sur mon nez. Je suffoquais. Pourtant Isabel me suçait bien.

 Petit à petit Maria se mit à être plus humide, à mouiller abondamment et l’odeur forte commença à s’estomper pour être remplacée par un fumet agréable et excitant. J’ai donc sorti ma langue et entrepris de la nettoyer à la léchant partout. Maria me dit " continue salope, je vais faire de toi la plus belle des salopes"

Elle ne croyait pas si bien dire

je continue ?

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:06

vous ne trouverez aucune poésie à travers ces lignes, je suis une femme très directe, si certains ou certaines veulent plus de poésie ou de détails, je les renvoie à des auteurs passionnants comme BALZAC, et de la même manière s'ils veulent plus de détails durant l'acte je les renvoie à des publications érotiques ou pornographiques dans lesquelles l'acte sexuel est décrit pendant plusieurs pages soporifiques.

 

 D'autre part certains trouveront étonnant la rapidité de l'évolution des situations, mais je suis obligée de faire court pour éviter un roman de plusieurs tomes.

 

 Par contre je vous demanderai de ne rien envoyer sur ma messagerie personnelle, je ne répondrai que sur le blog pour que tout le monde puisse en profiter et que je n'écrive pas toujours les mêmes choses.

 


Ma sexualité qui a commencé en tant que fille soumise, s'est transformée au fur et à mesure en femme calculatrice dominatrice et perverse.

Vous verrez au cours de ce récit l'évolution du personnage partant d'une adolescente timide, docile en manque totale d'affection en une femme dominatrice et dont le seul objectif est son plaisir personnel à travers des situations plus ou moins surprenantes.

 En fait c'est la situation qui m'excite et non l'acte lui-même, c'est une des raisons pour lesquelles je ne décrirai que les moments qui provoquent ces situations, qu'ils aient été provoqués par ma tenue vestimentaire, par mon comportement ou de façon totalement inattendue. Après l'excitation contenue dans la situation qui peut être parfois hard je l'avoue, l'acte par lui-même ne sert que pour garder la pression et permettre aux partenaires d'arriver au moment que j'attends le plus, l'éjaculation. En effet c'est de cette manière que j'atteins complètement ma jouissance. Ce n'est qu'avec une ou des éjaculations de sperme que je suis satisfaite et peux aller chercher ma liqueur préférée directement sur le membre d'un partenaire(ce que j'appelle traire) ou dans le sexe d'une femme qui a été préalablement rempli.


Pour couronner le tout, j'étais assez pulpeuse et donc considérée comme appétissante, maintenant l'âge a fait que je reste attirante .


Je suis d'origine espagnole née en 1960 dans un petit village à coté de MADRID. Mes parents se sont séparés et je vivais au début surtout avec ma mère. Celle-ci était une très belle femme mais je ne connaissais rien de sa vie qui je pense devait être tourmentée et n'ai jamais su ce qu'elle faisait ni les personnes qu'elle fréquentait. Elle a eu par moment des ennuis avec la police ce qui me fait dire que ses activités n'étaient pas toujours licites et je dois dire que sous un régime FRANQUISTE, la liberté et de plus celle des moeurs n'était pas facile à obtenir. N'ayant également jamais connu mon père, je fus donc placée dès l'âge de 10 ans dans un pensionnat

 

 

 

C'est le début de mon récit:Si vous voulez que je continue ,à vous de m'encourager par vos commentaires:

pour les inconditionnels des photos j'ai remis un nouvel album

Par coralie - Publié dans : récit
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 12:16

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Evidemment après avoir été copieusement remplie, dès que je me suis mise debout ,quelques gouttes de sperme ont ruisselé sur mes cuisses et sont tombées par terre. Ne voulant pas laisser un copain dans l’embarras ,j’essuyais tout de suite les cochonneries faites sur le sol,car je pense que sa femme n'apprécierait pas la chose en rentrant. Le copain filmait derrière moi et le spectacle qui lui a été offert de voir encore mon sexe offert qui avait encore les traces de son précédent passage l’a incité à me prendre de nouveau.La nouvelle année commençait trés bien pour mettre mon minou en appétit.

Pour rentrer chez moi,j'ai enfilé mon manteau et suis rentrée à pieds , je sentais l'air frais de soir sur mon minou encore humide.

http://www.yourfilehost.com/media.php?cat=mov&file=PICT0861.MOV

 

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 10:15

Hier après-midi, avec mon mec on avait décider d’aller voir un copain pour lui souhaiter une bonne année à notre manière. J’étais habillée comme à mon habitude courte et simple. Sous ma mini rouge ,rien que mon tendre petit minou.

Arrivée chez notre copain, celui ci propose après les embrassades une petite coupe traditionnelle. Mon mec et moi prenons place sur le canapé et le copain en face. Son canapé est très profond, si bien qu’une fois assise dedans, j’avais les jambes plus haute que le bassin et la jupe remontée au niveau de mon pubis. La position d’assise empêchait de croiser les jambes et j’étais à chaque fois obligée d’ouvrir celles-ci pour prendre ma coupe ou les amuses-gueules. Le copain avait les yeux rivés sur mon entre-cuisses attendant le moment ou celui ci apparaisse dévoilé en toute impudeur. Son regard était très intense et j’en sentais presque la chaleur du regard sur mes lèvres intimes humides. Voyant le manège, mon mec passa une main entre mes jambes et me forcer à les écarter en lui disant que je m’offrais à lui pour cette nouvelle année. J’ ouvris les cuisses bien sur sans difficultés . Le copain s’est levé ,à baissé son pantalon et est rentré en moi son sexe bien tendu et raide. Il a éjaculé assez rapidement et devait avoir les bourses pleines car sa femme était partie dans sa famille pour les fêtes de fin d’année. Des que le copain s’est retiré, mon mec que la situation avait excité a pris sa place et lui aussi est rentré très facilement en moi étant complètement ouverte. Pour éviter de tacher le canapé vue la quantité de sperme déversée ,je me suis levée et me suis assise sur un tabouret. Le copain a pris une vidéo de mon sexe qui palpite encore de la double pénétration qu’il a subi, étant encore excitée, je me caresse et on peut voir la semence de mes mâles s’échapper de mon minou et que j’étale avec délectation sur mon pubis

http://www.yourfilehost.com/media.php?cat=mov&file=2543PICT0860.MOV

Je suis vraiment une cochonne, non ?

(en principe vous devriez voir cette vidéo,dans la négative en allant sur le site "01.net" vous pouvez télécharger gratuitement des codecs "K-lite" qui permettent de lire toutes les vidéos)

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Dimanche 31 décembre 7 31 /12 /Déc 10:42

 

Bonne année 2007 à tous,beaucoup de sexe et bonnes masturbations fréquentes

 

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Vendredi 29 décembre 5 29 /12 /Déc 11:00

bisous à tous!

j'ai encore modifié mon blog pour le rendre plus sympa.Tout d'abord une présentation,et un nouvel album photo de moi en tenue de sport

 

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Mercredi 27 décembre 3 27 /12 /Déc 10:57

coucou

je profite de quelques jours de repos pour mettre à jour mon blog. Tout d'abord j'ai rajouté quelques photos dans mon album "sortie de nuit" et crée également un nouvel album "beaux jours à Marrakech"

vous profiterez des derniers jours de mon petit minou touffu. En effet 2007 oblige celui ci devrait être rasé de frais pour la nouvelle année.

Enfin quelques vidéos torrides seront mises en possibilité de téléchargement prochainement

 

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Vendredi 22 décembre 5 22 /12 /Déc 09:30

BONNES FETES DE FIN D'ANNEE A TOUS

Nous essaierons de mettre des vidéos en ligne.

pour l'instant ce n'est pas terrible,car soit il faut télécharger sur un site en anglais,soit il faut un code sur "DAILYMOTION"

Mais peut être avez vous des idées à nous faire partager ,pour les mettre facilement en ligne?

N'hésitez pas à mettre des commentaires même crus qui plaisent à Coralie

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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