Susan ouvre la porte. Elle est vétue d'un peignoir .Voyant gras double qui me suit,elle me susurre à l'oreille que c'est super ,que c'est exactement ce qu'elle désirait. Elle nous fait entrer, et ma surprise est grande quand je découvre un appartement vide.Seule une chaise trône dans un coin. J'entends un bruit derrière moi,et c'est Susan qui par un croche pied vient de faire tomber gras double sur le ventre.Prestement elle lui saute dessus et en lui tirant les poignets les attache avec des menottes .Puis elle tire un baillon corde et le passe autour de la tête de l'homme ce qui l'empèche de crier.

je ne me sens pas trés rassurée,cette femme est une vrai féline. Elle quitte son peignoir et apparait vêtue de la même tenue que lors de notre première rencontre. Elle s'approche de moi et me demande si je veux qu'elle me remercie tout de suite ou aprés sa séance.Ne sachant que répondre elle me fait asseoir sur la tête de l'homme. Celui-ci n'arrête pas de couiner et de gigoter.Susan lui lance un coup de botte dans le ventre qui a pour effet de la calmer. J'ai peur soudain de cette femme et veut m'en aller.

Mais elle me retient aux épaules en me parlant d'une voix douce et suave.Quand elle ne crie pas sa voix est grave trés guturale. Comme dans la boite elle m'ouvre les cuisses et se rapproche de mon sexe.

"Tu n'as pas beaucoup de parfum" me dit -elle ! Je jui réponds qu'une journée de boulot ne m'a jamais fait mouiller et ce n'est pas la situation actuelle qui va changer la donne.Aprés s'être déplacée vers la pièce à coté elle revient avec un fouet et quelques ustensiles.

Aprés avoir mis son jean michel sur le dos,elle déboutonne et commence à enlever son pantalon .je suis toujours assise sur sa figure.Elle retire aussi un slip douteux, puis elle entreprend de retirer le Tshirt.

Quand gras double se retrouve nu,elle le chevauche et se caresse en même temps.gras double n'a pas l'air tellement d'apprecier car elle a toujours sa culotte à chaine qui doit irriter le sexe de l'homme.

Elle a le fouet dans la main et entreprend de lui donner des coups sur le ventre.Je regarde assez perplexe,bien que les coups assénés lui font bouger la tête et son nez se frotte ainsi à mon pubis,ce qui n'est pas déplaisant..Elle se lève alors et se met à le fouetter avec violence en criant des mots orduriers.Elle semble redoutable et le corps de gras double se couvre de stries violacées .Elle a l'air complétement hystérique et JM se soulève sur chaque coup porté.Son nez est dans mon sexe qui s'est un peu ouvert.

Ruisselante de sueur,Susan se pare d'un tampon. Elle a l'air curieuse ainsi ,avec son sexe d'homme factice. Elle s'allonge alors sur gras double  "eh bien mon cochon,lui dit -elle tu sents la pisse" elle décalotte le gland du petit sexe et se met à la sucer. je suis hypnotisée par cette femme pourtant agréable qui fait une fellation à ce gros porc. Lui essaie d'enfoncer un peu plus son nez dans ma chatte,qui commence à se lubrifier en voyant cette scène.   

Puis Susan retourne gras double et lui demande de se mettre à quatre pattes,et elle s'enfonce violement entre ses fesses.Lui pousse un cri horrible étouffé par le baillon.Elle continue pendant un moment ses mouvements de va et vient,puis elle se retire de gras double .D'un coup de botte appuyé sur le coté de JM,elle le fait tomber sur le dos.Il semble cependant encore avoir une erection. je m'approche d'elle à quatre pattes et glisse ma tête sous sa jupe. Elle sent trés fort ,une odeur épicée mais aussi attirante .Je commence à faire coulisser la culotte et j'aperçois son sexe complètement trempé et sa mouille qui fait des bulles sur son sexe épilé. Elle m'ordonne de lui retirer sa culotte et de la mettre à la place du baillon de gras double

.je m'installe à califourchon sur le ventre de l'homme.J'ai l'impression d'être sur un cheval tellement son ventre est énorme. Pendant que j'installe la culotte que gras double lèche et suce avec délectation ,Susan se masturbe en se positionnant les genoux de part et d'autre de  sa tête . Elle a ainsi le sexe au dessus de la tête de gras double. Je regarde le spectacle avec intéret.Soudain elle s'arrête et semble pousser.effectivement un jet d'urine surgit et éclabousse la tête .Je sens maintenant son sexe durcir et cogner contre mes fesses. Elle me demande de reculer .je glisse le long du sexe de gras double et m'assoit au niveau de ses genoux. Susan s'allonge pour permettre de lui mettre son sexe sur la tête de gras double et  prend de nouveau le sexe de l'homme dans sa bouche. Elle me demande de m'allonger sur les jambes de gras double et elle peut ainsi nous lècher en alternance.

 Mais cette situation ne m'excite pas je me lève et me décide à partir. Ne pars pas me dit -elle,on ne fait que commencer en saisissant une cravache .

Je lui répons que cela ne m'amuse plus et je prend congé

elle a essayé de me rappeler au téléphone ,je n'ai pas répondu. Andréas m'a appris qu'elle était connue comme étant trés dure et que j'avais eu de la chance parce qu'elle faisait quelques fois des séances  avec rasoir   . j'ai failli vomir .

Comme disait Monsieur JOURDAIN, "on fait de la prose sans le savoir",il m'est arrivé de faire du sado-maso sans le savoir. (j'avais d'ailleurs écrit un passage sur ce sujet dans un article sur ma biographie)

C'est vrai qu'au début je n'étais pas douée,car je croyais que SM était une marque de voiture.J'avais en effet un ami qui roulait en Citroen SM et qui disait régulièrement qu'il fallait être maso pour rouler là dedans car elle était toujours en panne.

J'ai vécu une expérience unique en ce domaine,cela remonte à une dizaine d'années. Nous allions dans une boite échangiste dont la thématique de la soirée était plutôt gang bang. Je n'étais pas enthousiaste à sortir dans ce lieu,ne manifestant plus déjà à cette époque un goût prononcé pour ces situations que j'avais largement exploitées dans ma jeunesse.Phénomène de lassitude sans doute,le gang bang doit être pratiqué lorsqu'on est jeune avec des copains ou au cours de soirées bien arrosées. Aprés, à moins d'aimer le porno et d'être rémunèrée en conséquence,je n'en vois pas l'utilité ne prenant plus mon plaisir dans ces situations grotesques et affligeantes qui ne sont réalisées que pour la libido des messieurs.

Donc Andréas avait insisté pour y aller,lui par contre était trés friand de ces éjaculations de groupe sur une femme. Pour limiter les dégats,j'avais mis une tenue trés neutre,jupe droite au dessus du genou et T-shirt  assez large à manche longue et col Mao. A l'entrée le patron me regardait avec une moue qui indiquait que ma tenue n'était guère adaptée à l'endroit. Pour le calmer j'ai soulevé ma jupe en lui disant que de toute façon j'étais souvent assise les jambes ouvertes dans ses canapés profonds du fond de la salle. N'ayant que cette jupe et ce Tshirt sur moi, il parut satisfait.

Dans la salle bien sûr beaucoup d'hommes, quelques couples arrivaient,des hommes aimant livrer leurs femmes à d'autres...?

Déja un groupe se formait autour d'une femme habillée comme une pute et qui était en train de débraguetter plusieurs hommes,elle paraissait trés gourmande et venait visiblement ici pour se faire sauter par plusieurs hommes. Quand elle en a eu choisi une dizaine,le groupe s'éloigna vers le fond.

je me suis assise sur les fameux canapés,mais j'essayais de serrer les jambes ne voulant pas m'offrir ce soir à n'importe qui, et en plus n'en n'ayant aucune envie. 

 Andréas était parti voir ou renifler je ne sais quoi. J'étais seule sur mon canapé deux places

. En face à gauche il y avait une fille et deux hommes.Les hommes discutaient ensemble et la fille regardait alentour sans vraiment être intéressée et visiblement se demandait comme moi ce qu'elle fichait dans un endroit pareil

La fille avait un look punk , mini-jupe en cuir noir,bas résilles à grosses mailles,bottes montantes, T SHIRT à lacets qui avait du mal à enserrer sa forte poitrine , un collier avec des clous type chien anglais,un visage blanchâtre souligné par un noir à lèvres et des faux cils longs, des yeux extrèmement maquillés et pour couronner le tout une coiffure raide en pétard rose.

elle machouillait ostensiblement un chewing gum et avait l'air de s'ennuyer ferme. Vu son regard de tueuse aucun homme ne s'approchait..

Un gros suiffeux s'installe à coté de moi,  et sans un mot avec un sourire moche et lubrique ,pose une main sur mon genou et entreprend de remonter ma jupe. je me lève d'un bond et lui crie" enlève tes pattes de là connard ! dégage et va voir ailleurs ,je ne suis pas d'humeur à me faire tripoter par une motte de saindoux". Le suiffeux s'éloigne , une partie de l'entourage nous regardait car ma phrase avait couvert la musique d'ambiance.

sur ce,la punk rose se lève et s'accroupit devant moi en posant ses mains sur mes genoux. J'ai ainsi une vision sur ses cuisses largement ouvertes et me permet également de constater qu'elle porte aussi une culotte noire avec une chaine...

"j'ai bien aimé ton intervention me dit elle- tu me plais ,je te propose un deal !"

je lui réponds que je n'ai pas envie d'une femme ce soir et qu'elle ne correspond pas à mon type.

Elle ébauche un sourire et m'avoue qu'elle est sado-maso. Par contre elle aime pratiquer cela avec un type d'homme bien déterminé. Elle m'en fait la description et là j'éclate de rire. Sa description de l'homme idéal avec qui elle aime prendre son pied me laisse pantoise et j'ai du mal à me remettre de mon fou rire.

elle me demande si je voudrais l'aider à racoler son mâle type,car elle m'avoue que son look les effraie un peu.

je trouve l'idée amusante et je lui donne mon accord,nous échangeons nos numéros de téléphone et je la préviendrais dès que j'aurais rencontré son" type d'homme"certainement pas difficile d'ailleurs-vous saurez pourquoi ultérieurement)

"je voudrais te remercier, laisse moi entrer" me dit elle en effectuant une pression de ses deux mains pour ouvrir mes jambes. Regardant avec étonnement elle dit " mais tu n'a pas de culotte,et en plus tu es trés poilue" et en s'avançant,elle rajoute"mais tu t'es lavée avant de venir ?-dommage"

je lui réponds en voulant fermer les jambes que si cela ne lui plait pas elle peut aller voir ailleurs,que je l'ai pas appellée et qu'en me laissant  tranquille ce serait encore mieux. Mais sa pression était trés forte et elle me forçait en m'embrassant et en remontant le long de mes cuisses. Le gros suiffeux était revenu la queue entre les mains en disant "des gouines...j'aurais du m'en douter" Susan,car elle s'appelait Susan ,lui répond de dégager sinon ,elle lui enfilait un coup de bottes dans les "roustons".

j'ai fermé les yeux et je me suis laissée allée à ses caresses buccales au plus profond de mon intimité.

J'ai sentie sa langue avec son piercing sur mon clito et cela m'a beaucoup plus. Elle trouvait mes secrétions délicieuses et elle m'a fait jouir longtemps.

Puis nons nous sommes quittées,je ne l'ai pas touchée, (elle a refusé quand j'ai voulu lui rendre la pareille) ,elle m'a simplement dit "s'il te plait ,le jour ou tu chercheras mon homme ne te laves pas !!!".... ????

mais qu'est ce qui va m'arriver encore ? pfff quel suspense insoutenable.Et dire qu'il y en a qui ont des vies tranquilles bien calées au fond de leur lit conjugal. La suite s'il vous le valez bien comme dirait l'autre, si vous m'encouragez!!

J’ai connu Andréas en Allemagne (son pays d’origine) .

J'étais avec une amie Sophie ,et nous avons recontré Andréas à la terrasse d'un café.Il était accompagné de deux autre garçons.

C’était un petit coquin, et nous avons sympathisé facilement. Ils ont proposé un restaurant et ensuite un tour à la fête foraine à STUDGART.

le repas a été copieusement arrosé et nous étions passablement émèchés

Nous voyant hésiter devant le manège.,Adréas , son frère Peter et un copain à eux Johann nous ont proposé de monter avec eux. Les montagnes russes avec les virages et la vitesse nous ont fait perdre toute contenance.

Nous étions vêtues de petites robes légères (début août) qui s’envolaient  avec la vitesse. Au début on les maintenait sur nos cuisses, mais après deux ou trois virages, on se cramponnait à la barre. Heureusement que nous avions mis des petites culottes blanches pour une fois.J’étais entre Andréas et Johann,Sophie était derrière avec Peter.

J’étais tellement impressionnée par le manège que je fermais les yeux et je sentais par moments l’effleurement d’une main sur un de mes seins ou de ma cuisse.Etait ce volontaire ?

Le manège arrêté nous sommes sortis en titubant. Puis pour se remettre nous nous sommes assis sur un banc dans la pénombre à la périphérie du parc.

 Johann a commencé à m’embrasser et à me caresser.Nous étions tous des adolescents en pleine sève. Andréas restait debout et fumait une cigarette, Peter et Sophie se sont allongés dans l’herbe. Je me laissais aller, la tête en arrière .Cela tournait encore beaucoup dans ma tête, Johann avait sorti un sein de ma robe et l’embrassait goulument. Il maintenait mes jambes ouvertes et me caressait entre les cuisses. Cela allait très vite ,ce qui n’était pas pour me déplaire.Nous étions des jeunes filles trés délurées déjà à cette époque.

 Je regardais Sophie qui se faisait retirer sa culotte par Peter, Andréas avait sorti son sexe impressionnant et l’avait présenté à Sophie qui l’avait avalé prestement. Peter a aussitôt pénétré Sophie.(Je précise qu’à cette époque, il n’y avait pas de Sida-donc les préservatifs étaient peu utilisés)

Johann voulait enlever ma culotte,je me suis levée et l’ai aidé.Laissant la culotte sur le banc,je me suis allongée à coté de Sophie et Johann m’a pénétré. Je me suis collée contre Sophie et gourmande je voyais le membre d’Andréas dans la bouche de Sophie. Johann et Peter nous prenaient à la hussarde, mais nous sentions néanmoins l’orgasme venir.

 Nous entendions des voix gutturales aux alentours commenter ce que nous faisions. L’excitation de baiser dans un parc avec sans doutes des voyeurs me fit venir un orgasme violent qui fût décuplé quand Andréas se retira pour nous arroser toutes les deux copieusement de sa semence. Devant la situation je sentis en même temps Johann qui explosait en moi..Peter et Johann se sont retirés en même temps et ont remonté leur pantalon.

Autour de nous il y avait quelques autres hommes qui regardaient en buvant de la bière. Nous nous sommes relevées toutes les deux et avons quitté le parc ,suivies par nos trois compères.

                                    Je me demande si ma culotte est encore sur ce banc ?

Au fait est ce que vous voulez que je vous raconte la suite ?

Carla est une de mes meilleures amies. Elle est aussi exhibitionniste que moi et aime aussi beaucoup le sexe. C’est son expérience de l’autre jour que je vais raconter.

Nous étions dans le TER ; celui-ci était bondé ce vendredi soir de retour à Marseille.Nous étions tassés comme des sardines et il faisait une chaleur à crever.

Carla est en face de moi et nous sommes pratiquement collées l’une à l’autre. Tout autour de nous nous avons des corps inconnus qui nous cernent de près

L’avantage ou l’inconvénient du TER c’est que contrairement au métro les trajets entre deux arrêts sont beaucoup plus longs. La chaleur suffocante nous conduit tant bien que mal à nous débarrasser de nos manteaux. Carla comme moi étions en jupe mi-cuisses (la mienne en jean, celle de Carla en tweed plissé) J’avais un léger pull à col roulé et Carla un chemisier boutonné sur le devant un peu juste avec sa forte poitrine.

J’adore d’ailleurs sa poitrine généreuse et pulpeuse que je caresse souvent quand nous sommes en intimité.

Soudain Carla me dit tout bas :

-il y a un type derrière moi qui me colle de façon très sensible et je sens qu’il bande entre mes fesses

.Cela arrive effectivement souvent dans les transports en commun. Elle me demande comment il est physiquement et je lui en fait une description assez élogieuse. Grand, allure sportive la quarantaine sémillante, visage carré, yeux bleus qui me regardent effrontement.

Le profil que j’en ai dressé doit lui plaire car au lieu de se rapprocher encore plus de moi, Carla s’en éloigne et se penche en avant. Ceci a pour conséquence de bien appliquer les fesses de Carla  sur le ventre de l’inconnu. Celui ci tout en me regardant avec un léger sourire remonte la jupe de Carla jusqu'à sa ceinture. Je suppose qu’au vu des contorsions l’homme est en train de se dégrafer. Effectivement Carla me dit

-il vient de sortir son sexe, je le sens très bien à travers le tissu de ma culotte

Eh oui, contrairement à moi, Carla met toujours une culotte pour sortir. La voilà donc punie pour sa pudeur. Elle ne peut pas sentir ce beau mâle sur ses fesses !

C’est alors qu’elle me dit. :

-Rends-moi service, j’ai des ciseaux dans mon sac, prends les et coupe la culotte sur le coté, cela te sera plus facile qu’à moi !

je lui réponds, :

-mais tu ne vas quand même pas te faire enfiler comme ça par un inconnu ?

-     non, -dit elle-je veux simplement qu’il jute sur moi

Après avoir coupé le tissu, l’homme a effectivement entrepris un mouvement léger contre Carla.

L’entourage semblait ignorer la situation, je ne savais pas s’il était en elle ou pas.

Puis Carla a rapproché son visage, elle semblait évaporée de bonheur. Elle m’a demandé de l’embrasser.

Elle enfonce sa langue dans ma bouche, et à ce moment j’entends un bruit de tissu qui se déchire. L’homme vient d’arracher les boutons du chemisier de Carla en glissant ses mains pour lui pétrir les seins. Il descend le malheureux soutien gorge. Sa poitrine ballote sous les coups de hanche de l’homme qui a remis ses mains sur la croupe de Carla. La situation maintenant ne prête plus à confusion. Il la baise. Elle respire très fort et je redoute qu’elle n’explose son orgasme par un cri violent car Carla est une bruyante. Pour éviter qu’elle ne crie c’est moi qui l’embrasse en mettant ma langue dans sa bouche. Puis tout s' arrête., le train aussi d’ailleurs. les voyageurs sont descendus,l’homme avait disparu et Carla avait sa jupe maculée de foutre.Il avait eu quand même la correction de se retirer au bon moment.