Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 20:27

voici une magnifique photo réalisée par un artiste de talent!

de plus un peu de culture ne nuit pas !

alors prêt ?

question pour un champion... qu'est ce que je fais? ........

1/ - je remonte mon cadran solaire ,ayant les mains occupées à remuer la pâte à crèpes pour la chandeleur

2/ -je teste avec application le nouveau percolateur que l'on trouvera prochainement dans tous les sex-shop et qui permet de se délecter des délicieuses saucisses de MORTEAU

3/ - aprés les fêtes je me soumets à un alcoo-test ,suite à la viligeance de la maréchaussée

vous pouvez voter par commentaires ,et le gagnant recevra un plat de lentilles. mhhhhhhhhhhhh!

 ps : voici un apperçu de ma nouvelle robe torride (pffffff quel suspense!)

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 09:26

Samedi nous étions invités chez un couple qu'ANDREAS connaissait . C'était paraît t-il un copain qu'il avait connu il y a plusieurs années Moi je ne les avais jamais vu.

Je m'étais habillée simple avec une jupe moulante noire pas trop mini, des bottines noires et un sous pull noir. Bien sur des bas (je ne supporte pas les collants) et un slip noir. Le tout enrobé dans un manteau de fourrure clair, j'étais très présentable pour une première rencontre.

C'était un dîner et nous devions prendre la voiture car il n'habitait pas la même bourgade. Sur la nationale, mon homme qui est coutumier de ce geste familier, passe sa main sous ma jupe. Quelle est sa surprise de constater le port d'une culotte, qui fait obstacle à sa caresse

·        »Mais qu'est ce que c'est que cela Coralie ? Une culotte et puis quoi encore »

je lui réponds que nous allons à un dîner, qu'il n'y a donc pas de raison de baiser là-bas avec des inconnus et qu'en plus il fait froid et que mon minou nouvellement épilé ne l'apprécie guère. Il s'arrête sur le bas coté et me dit 

-» ce n'est pas bien Coralie, tu as désobéi, il avait toujours été convenu que tu ne portes jamais de sous-vêtement, tu vas donc être punie.

 

 

 

 

 

 

 

 Le pire c'est qu'il avait raison, nous avions convenu de cette absence de culotte en toute circonstance, cela faisait partie de notre petit jeu sexuel.

La punition consista donc à sortir de la voiture, à me mettre devant les phares et  retirer ma culotte. Je fis cela entre deux passages de véhicules. Mais Andréas  ne voulut pas en rester là. Il me dit : 

enlève la robe »

 je rouspète en disant que je ne vais pas aller nue chez des gens que je ne connais pas, qu'ils vont me prendre pour la dernière des traînées.    Et il me dit 

attention tu sais que si tu insistes la punition s'aggrave ».

C'est vrai que les règles que nous avions fixées au départ prévoyaient cette éventualité

Je m'exécute donc et retire ma jupe. Je reviens à la voiture pose ma culotte et ma jupe sur le tableau de bord et nous repartons.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous prenons une portion d'autoroute, ce qui raccourcit le chemin. A la première aire d'autoroute, Andréas stoppe pour effectuer un besoin pressant. Il revient quelques temps après. Je le vois attendre et regarder dans son rétro. Une BM était stationnée qui redémarre, lui aussi redémarre en la précèdant. Nous arrivons au péage qui a deux passages, le premier est occupé par un camion, nous nous enfilons dans le second, la BM se trouve derrière nous .Andréas sort son ticket et sa carte bleue en les présentant à la guichetière. Celle ci encaisse  puis soudain il saisit ma culotte sur le tableau de bord et dit à l?employée du péage.

·        »excusez moi mais la Dame dans la voiture qui est derrière nous a oublié sa culotte dans les toilettes de l'aire d'autoroute précédente, s'il vous plait est ce que vous pourriez lui remettre quand elle passera au péage ».

L'employée semble perplexe devant le tissu, mais cependant s'en saisit . Andréas démarre aussitôt et je pouffe de rire devant la situation. En me retournant, je  vois ainsi la guichetière proposer mon sous -vêtement à la voiture suivante.

 

 

 

 

Nous roulons quelques kilomètres en riant de notre farce quand derrière nous apparaît une voiture plein phares. Elle effectue un dépassement et se retrouve à notre hauteur, il s'agit de la BM, les occupants baissent leurs vitres et nous pouvons apercevoir distinctement l'homme et la femme nous sourire très simplement, l'homme nous adresse un signe de la main avec le pouce dressé comme semblant signifier qu'il avait apprécié l'humour et la femme , ma culotte à la main , la porte délicatement à ses narines et semble en humer les senteurs (je l'avais portée toute la journée). Ils nous doublent puis ralentissent et enfin  le clignotant nous indique qu'ils ont l'intention de tourner à droite.

Nous faisons de même et nous stoppons au bord du chemin. Le couple de la BM sort du véhicule et vient à notre rencontre .L'homme approuve notre entrée en matière et indique que sa femme a trouvé ma culotte fort excitante.

Lorsque je suis sortie de notre propre voiture nue sous mon manteau, l'affaire était conclue. Nos hommes nous ont allongées sur le capot de la BM (c'est la seule voiture de branleur à avoir un capot long et plat-il y a aussi la Mercedes, mais c'est moins pratique à moins d'avoir le rond à étoiles dans le derrière)

 Ce fut un feu d'artifice. Chacun de nos hommes nous pénétrait. Je caressais les seins de la femme et quand je l'ai embrassée en enfonçant ma langue dans sa bouche ,j'ai senti mon homme se répandre en moi et l'autre homme a éjaculé dans sa femme au même moment.

 

Ils voulaient que nous restions encore un peu et procéder à un échange, mais nous étions attendus pour ce dîner et il valait mieux repartir.

 

 

 

 

Nous avons ensuite repris chacun notre chemin, en nous remerciant mutuellement du moment passé

 

 

 

 

Là j'avoue que la situation était compliquée, j'arrivais chez des gens que je ne connaissais pas vêtue seulement d'un manteau avec un sous pull et des bas, le sexe à l'air ruisselant de la dernière pénétration effectuée ,et au lieu de m'en inquiéter, j'en éprouvais un certain piquant.

Arrivé devant leur immeuble, il y avait un groupe de jeunes qui fumaillaient des cigarettes tout en consommant des cannettes de bière. Andréas qui ne voulait absolument pas que je rattache mon manteau me fit passer devant pour admirer le regard des adolescents sur mon corps dévêtu.

 

 

 

 

Au troisième étage, nous sonnons et entrons dans l'appartement de ses amis,. Bien entendu l'homme demande à nous débarrasser des nos manteaux et je prends plaisir à voir sa surprise quand il constate que je suis nue dessous .Nous nous dirigons vers la salle à manger. Nous étions six au total. Tout le monde me regardait mais aucun n'a émis le moindre commentaire. nous avons passé une soirée comme si de rien n'était . C'était eux qui , habillés , semblaient les plus gênés. A la fin du repas nous nous sommes quittés comme des couples normaux. Dans l'ascenseur je dis à Andréas, 

bravo,j'adore leur stoïcisme »

il me répond :

-« en fait il m'a dit ,ne reviens plus jamais avec ta salope,habillée ainsi »

 comme quoi l'interprétation d'une situation est variable selon les individus et qu'Andréas en voulant épater son pote s'est pris la plus belle veste de l'année..

c'est quand même beau un roman d'amour bien écrit ,non ?

Par coralie - Publié dans : exhibitions extérieures
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Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 14:52

Je vais partir quelques jours.

Pour vous faire patienter je mets quelques photos prise l'autre jour avant d'aller au restaurant.

 D'autres,samedi dernier  quand j'essaie des sous-vêtements sexy avec Carla dans une cabine d'essayage. 

Et en plus j'ai acheté des vêtements torrides que vous pourrez voir prochainement

 

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 09:01
Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Jeudi 25 janvier 4 25 /01 /Jan 09:34

BELLE DE NUIT

 

J’aime beaucoup ces vocables : belles de nuits, filles du soir, call-girl ou même p….te.

J’ai beaucoup de respect pour ces dames qui donnent du plaisir aux hommes dans des conditions qui ne sont pas toujours agréables pour elles.

 

Après avoir fait les soldes ,Andréas m’a proposé de faire le trottoir. J’ai accepté car après les essayages j’étais un peu émoustillée. J’ai retiré ma jupe et mon pull à col roulé, il ne restait plus que mon soutien gorge, mon string (j’en mets quand même un pour faire les soldes) et mes bas. Il faisait très froid et j’ai conservé mon manteau et j’ai mis ma perruque de pute

Les voitures passaient rapidement sans s’arrêter, j’ai eu droit à quelques appels de phares ou coup de klaxon ,sans plus. Au bout de trois minutes sans avoir eu le temps de faire une vidéo je suis rentrée dans la voiture j’étais gélée. Mes têtons étaient tout dur et mon minou glacial (ce qui est rare).

 

 

Andréas nous a conduit chez Loic (mon jeune amant) ,il y avait également le frère de celui-ci que je connais un peu pour l’avoir eu une fois en moi. J’ai seulement enlevé mon manteau, ma perruque et mon string et mes trois hommes m’ont réchauffé comme j’aime, ils m’ont possèdé toute la nuit comme une belle de nuit :

 

 

Encore,encore encore!!!!!!!!!!!!!

Par coralie - Publié dans : exhibitions extérieures
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 16:25

J'avais 18 ans et mon copain 22. Il était déjà pervers et voulait que je ne mette que des mini-jupes alors qu'en 1978 ce n'était plus la mode. Imaginez le regard des hommes sur moi ! il venait de sortir un film porno qui a eu du succès à cette période, je ne sais pas si vous en avez entendu parler , »le sexe qui parle ».  

Donc nous arrivons au cinéma, à l'époque il existait des cinémas pornos spécialisés, je portais quand même un slip sous ma mini, par contre j'avais un chemisier sans soutien-gorge ( sans sous-tif , c'était la mode ).

 Bien évidemment mon copain choisit une rangée ou il y a beaucoup de monde .Que des hommes bien sûr, si bien que mon arrivée ne  passe pas inaperçue.

Il choisit deux places au milieu de la rangée, j'étais donc obligée d'enjamber au moins dix hommes avant de prendre ma place. Ceux ci évidemment ne se privent pas de m'effleurer légèrement au passage.

Je me trouve à coté de mon copain et ,de l'autre, un inconnu qui doit avoir une quarantaine d'années. Au début mon copain me caresse  doucement les cuisses . Puis il remonte  tout en m'incitant à ouvrir les jambes . L'inconnu  nous regarde faire en perdant tout intérêt au film. Puis mon copain me demande d'enlever ma culotte pendant qu'il dégrafe mon chemisier.

Je refuse , il me répond que je ne suis pas crédible vu l'excitation que j'ai; en effet déjà à l'époque je mouillais beaucoup et ma culotte était trempée. Il me retire ma culotte sans que je ne me défende fermement et me caresse ouvertement l'entrejambe.

Je sens une chaleur violente et intense s'emparer de mon ventre.

 Une main me caresse les seins . Je regardais le film où curieusement la scène se passait au cinéma et dans lequel l'actrice principale se faisait caresser par deux inconnus. C'est lorsque je sentis une troisième main sur ma cuisse que je compris que l?inconnu à ma gauche s'activait également à me peloter. Mon coeur s'accélère et je commence à jouir. Mon copain, qui a senti la main de l'inconnu , retire la sienne puis se lève et il me dit qu'il va aux toilettes .En partant il  dit quelques mots à son voisin de droite.  


 

 

L'autre à gauche continuait à me doigter et à me malaxer les seins. Quelques secondes après l'inconnu qui était à droite de mon copain se rapproche sur le fauteuil vacant et se met lui aussi à me caresser .Je commence à haleter de bien être ce qui  fait retourner le spectateur de devant qui a pu  avoir cette vision d'une salope complètement écartée et se faisant doigter par des inconnus dans un cinéma porno. Dans le film les deux hommes proposent à l'actrice d'aller la sauter dans les toilettes. Evidemment mes deux inconnus me proposent la même chose, et voulant retrouver mon copain je les  suis. Je suis à nouveau obligée d'enjamber tous les autres hommes de la rangée et là ce n'est plus la même chose. Imaginez une fille qui passe devant eux jupe retroussée, chatte dégoulinante à l'air, les seins qui balottent devant le chemisier ouvert., j'avais plein de mains partout je ne pouvais plus avancer on me forçait de partout, si bien que j'imaginais que tout le cinéma allait me passer dessus .Et curieusement l'idée ne m'affolait même pas .

En fin de compte ce sont les deux inconnus qui m'ont tirée par les bras pour m'emmener aux toilettes. Par contre là-bas, pas de trace de mon copain. Les deux inconnus ont commencé par sortir leur queue en me disant que j'allais me régaler.

 Je suis  sortie en courant, et sur le trottoir, mon copain m'attendait en fumant une cigarette. Il m'a simplement demandé :

-ça t'as plu ?

je lui ai collé une gifle bien méritée et ne l'ai jamais revu .

Mais j'avoue que la situation était torride et m?avait beaucoup excitée

 

Maintenant je vais moins souvent au ciné,mais je suis sûr bandes de coquins que vous auriez bien aimé être à coté de moi

Par coralie - Publié dans : récit
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Jeudi 18 janvier 4 18 /01 /Jan 11:13
il est toujours  nécessaire d'occuper ses soirées sainement.

j'adore ces petits bijoux, ils me permettent de me caresser comme j'aime.

 

Sur cette vidéo vous pourrez voir que je prend plaisir à me caresser avec mes petits bijoux. Bien entendu, Andréas mon compagnon qui filme,ne peut résister à sortir son sexe devant la situation qui l'excite lui-aussi.

Il s'approche et je saisie son membre bien dressé et lui applique les mêmes caresses. Puis cet impatient en veut plus et me présente avec convoitise l'objet de nos désirs que j'avale avec délectation

http://www.dailymotion.com/blog/video/1676897?key=6tqo633l0eigbmvabl403526m103po3mpxe52ga3

Bien que j'adore cela, je n'ai pas pu avaler toute la semence qu'il m'a généreusement donné,et le surplus s'est répendu sur mes seins

c'était encore une bonne soirée,par contre dites moi si vous pouvez voir cette vidéo et si vous appréciez!

 

Par coralie - Publié dans : articles avec vidéos
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 16:23

Le barbier de Seville

vous vous êtes sans doute aperçu que mon minou a été épilé-la TOTALE-

avant quand je promenais dans la rue et que je me penchais pour laçer mes chaussures,cela donnait cet aperçu

 

AVANT

 

 

alors que maintenant on voit cela:

 

APRES

si vous étiez derrière moi dans la rue, quel est mon meilleur profil ? et qu'est ce que vous me feriez ?

Par coralie - Publié dans : Coralie GATHOR
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 18:07

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lors de son retour en France, Sandrine m’a emmenée avec elle, cela me permettait de parfaire mon français et peut être aussi de trouver un travail là bas. J’en ai trouvé un dans un bar de nuit.

 

 Si bien que de jour comme de nuit, mes tenues vestimentaires ne changeaient pas. Mini-jupes et bottes pour la journée avec chemisiers à col haut, mini-jupes et talons aiguilles la nuit avec chemisiers très échancrés sur mes seins mis en valeur par un soutien-gorge à balconnet. Par contre la nuit je mettais des collants car j’avais trop souvent des mains entre mes jambes.
C’était un boulot que j’aimais bien, n’étant pas farouche j’excitais et dominais les hommes.

 

J’avais également beaucoup de possibilités d’arrondir mes fins de mois sans trop de risques et d’efforts.
Sandrine qui en fait n’était pas lesbienne, préférait largement les hommes, ce que je comprenais tout à fait . Un jour elle a ramené un dénommé Cédric. C’était paraît –il le grand amour.

 

Effectivement Sandrine paressait radieuse. Une fois alors que Sandrine n’était pas là, il est rentré discrètement à l’improviste, et j’ai été très surprise de le voir débarquer dans la salle de bain alors que je me préparais pour me rendre à mon travail. Il avait la queue à la main et tout en l’agitant, il faisait des commentaires sur ma tenue de pute qui faisait bander tous les hommes du bar.

 

Pour toute réponse il reçu mon pied dans les parties. Quelques mois plus-tard, alors que je rentrais souillée comme souvent de mon boulot vers les 5 heures du matin, je trouve Sandrine sur le canapé du salon triste et mélancolique. Elle dit simplement

" il ne me touche plus, je suis sur qu’il a une maîtresse "

 Je ne l’ai pas démenti l’ayant vu une fois en ville avec une pouffiasse habillée comme moi.

 

 Alors je l’ai prise dans les bras, je l’ai caressée, embrassée et aimée comme je ne l’avais jamais fait. Je l’ai fais jouir plusieurs fois et un bruit derrière la porte de la chambre me faisait penser que Cédric devait mater et se branler .Je crois que c’était la première fois que j’aimais quelqu’un en lui faisant l’amour



J’ai quitté l’appartement de Sandrine pour en rechercher un personnel. j’ai changé de travail J’ai rencontré un homme délicat et charmant . Nous nous sommes mariés.

 Mes jupes ont été moins courtes et je portais des sous-vêtements. J’aimais mon mari ,le respectait .Mon passé de salope prête à tout me semblait loin. Par contre notre sexualité était très triste et je simulais régulièrement la jouissance


Puis il m’a demandé petit à petit en fantasmant de m’habiller plus court, de me promener sans culotte et finalement je me retrouvais dans la situation antérieure surtout la fois où je suis rentrée complètement souillée lors d’une soirée un peu arrosée au boulot.


Ainsi Monsieur qui rêvait d’une salope, ne pouvait plus supporter par la suite d’en avoir une à la maison.


Nous nous sommes quittés et l’expérience s’est renouvelée avec mon autre mari. Sans doute avais je un physique trop généreux pour faire une honnête mère de famille.




C’est vrai que je ne peux concevoir la baise sans sperme.
Le sperme peut être consommé avec délectation sans modération
Médicalement c’est très riche en protéines et une douche de sperme est un excellent anti-rides, associé au fait qu’il repousse le développement des boutons et points noirs.
Il peut être consommé directement par traite directe du mâle avec la bouche, ou lapé directement entre les cuisses de la femelle. D’ailleurs pour le terme laper n’utilise t-on pas des mots comme chatte, minou ?

 

 



Les dernières expériences vécues l’on été sur le net. C’est marrant, très direct aussi et peut être hard et excitant.

 

 


J’en ai terminé de mon récit : j'espère que cela vous a plu,j'ai encore d'autres expériences torrides à vous raconter et ce sont vos commentaires qui m'inciteront à continuer!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:48

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le lendemain en retrouvant Sandrine, celle ci m’a bien fait comprendre qu’elle ne voulait pas renouveler l’expérience du train, elle avait eu trop peur, par contre elle m’a avoué qu’elle avait adoré s’exhiber.

 

Je l’invite donc à faire une promenade, j’étais toujours uniquement vêtue d’une mini-jupe extra courte et d’un chemisier transparent sans rien d’autre et Sandrine d’une robe mi-cuisse. J’ai pu vérifier en passant ma main qu’elle n’avait rien sous sa robe, donc que l’on pouvait continuer les provocations.

 

 Cette fois je l’emmenai sur un talus qui borde l’autoroute;

 on s’est assises en haut du talus, jambes repliées et un peu ouvertes, le vent du passage des camions qui klaxonnaient nous excitaient et je pouvais constater que Sandrine mouillait abondamment. C’est alors qu’au moment ou j’allais me glisser entre ses cuisses pour la sucer avec délectation, qu’elle me dit "

non pas maintenant, Cochonou m’a honoré ce matin et je ne suis pas très propre "

La colère m’a pris et lui dit

" on ne dit pas Cochonou m’a honoré, mais Cochonou m’a souillé, m’a pollué "

 Je suis rentrée dans une colère et décidai de me venger.

Le lendemain je passais devant la boutique de chaussures et décidai de suivre la vendeuse pour en connaître un peu plus sur sa vie privée. Après quelques jours de filature et interrogation de son entourage, je sus qu’elle habitait un beau quartier pas très loin de chez moi et en plus elle vivait avec une amie et son patron pensait effectivement qu’elle devait être lesbienne( le patron n’a pas été avare de confidences quant j’étais assise en face de lui en faisant un jeu de jambes))

 

J’entrepris donc de me rendre dans la boutique pour draguer ostensiblement la vendeuse, et celle ci ,vu ma tenue et mon physique, n’est pas restée insensible. Je lui fis part de mon projet pour me venger de Cochonou et elle accepta de servir d’appât.

Le coup monté, il ne restait qu à le finaliser. Le lendemain devant Sandrine et Cochonou, j’ai dit que la vendeuse de chaussures (qui s’appelait Rosetta) s’était complètement exhibée devant moi et qu’elle ne portait pas de sous-vêtement. Bien sur Sandrine a confirmé le contraire.

 

Je savais que cet obsédé de Cochonou allait vérifier, et j’avais demandé à Rosetta tout en l’excitant de lui fixer rendez-vous chez elle. Ainsi le lendemain j’ai su que Rosetta avait pu obtenir un rendez-vous avec Cochonou et qu’ils se retrouveraient chez elle vers 15 heures.

 

J’ai donc demandé à Sandrine de m’accompagner soit disant chez une amie, j’avais pris le gode dans mon sac. Arrivé chez Rosetta qui m’avait laissé une clé, on rentra doucement dans le salon. Rosetta était allongée sur le dos, et Cochonou comme convenu, à quatre pattes entre ses cuisses.

 Sandrine était hors d’elle, je me suis mise sur le dos de Cochonou pour l’empêcher de se relever en sortant le gode en lui disant qu’il méritait une correction, Rosseta lui serra très fort la tête entre ses cuisses. J’ai mis le gode avec la ceinture autour de ma taille comme si j’avais un sexe et j’ai demandé à Sandrine de me remplacer en montant sur le dos de Cochonou.

 

Je suis passé derrière Cochonou et j'ai forcé sans préliminaire son petit trou. Il beuglait que nous étions des salopes, qu’il avait mal.

J’ai enlevé ma robe ,je l’ai roulé et placé sur la tête de Cochonou pour en faire des rennes, comme si c’était un cheval. La robe permettait de mettre la tête en arrière et éviter qu’il ne morde Rosetta. Il se débattait, Sandrine lui claquait les fesses et le dos, et Rosetta le giflait pendant que moi je continuais à l’enculer. Il est parti en criant nous traitant de tous les noms. On ne l’a jamais revu. Quand nous nous sommes retrouvées toutes les trois nous avons éclaté de rire et j’ai pris la main de Sandrine et lui ait demandé de s’allonger. Elle n’a pas résisté. je me suis alors retournée vers Rosetta et je lui ai dit " prends la ,c’est ta récompense à ta participation "

J’étais donc devenue une femme perverse , calculatrice et dominante

Par coralie - Publié dans : récit
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