récit

Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 07:57

Eh bien ! au vu des commentaires laissés sur mon dernier article,vous souhaitez que je reste cochonne,voir que je le sois encore plus.

je n'en reviens pas,je n'aurais jamais crû cela de la part d'internautes distingués.

bon et bien continuons.......

 

 

Ma soirée d'hier, j'ai eu la honte de ma vie, pourtant il en faut pour que je me sentes mal à l'aise, mais là je pense que la situation va dépasser toute la logique d'une femme du monde.

 J'avais eu un rapport avec mon homme qui m'avait copieusement remplie après plusieurs jours d'abstinence de sa part. Ma copine Carla est arrivée tout de suite après, j'avais juste eu le temps de rabattre ma robe, elle voulait aller au ciné. J'avais une robe blanche en tulle transparente assez ample qui m'arrivait à mi-cuisses et des chaussures à talons noir.

Lorsqu'elle est arrivée à 18 heures elle m'a dit que ce serait bien d'aller faire un peu de sport avant le ciné et de faire une heure de fitness à la salle de sport à 400 m de là. Je n'étais pas emballée, mais elle a tellement insisté que j'ai finalement pris un body  et des baskets pour me changer là-bas. Je voulais prendre la voiture, mais elle préférait y aller à pied. Le problème des robes en tulle c'est qu'elles collent, et comme je ne m'étais pas lavée et mon sexe était encore tout gluant, la robe collait à l'entrejambe juste au bon endroit. Quelques passants et surtout des hommes m'ont regardée précisément là et j'étais un peu gênée de cette situation.

Arrivée au vestiaire il fallait se déshabiller et cela n'a pas étonné évidemment Carla de me voir sans culotte, elle sait que je n'en mets pratiquement jamais. Par contre quand elle a vu mon sexe gluant avec des traînées de sperme qui descendaient elle a dit :

»j'y crois pas tu sors comme ça maintenant, mais t'es vraiment une vraie salope".

 Je pris cela pour un compliment.    
Par contre dans la salle de fitness avec l'effort et la transpiration le body commençait à être poisseux et j'avais l'entrejambe tout mouillée.

    
Après la séance Carla voulait prendre une douche au vestiaire, devant mon refus de l'accompagner elle dit:

 » attend tu vas pas aller comme ça au ciné, avec une chatte qui pue à 10 m »

 

 

 

 

 

 

 

 

Finalement elle a pris sa douche, moi j'ai remis ma robe et suis allée aux toilettes hommes, celles des femmes étaient en travaux, il n'y avait personne, je me suis mise devant l'urinoir et après avoir retroussé ma robe, j'ai fait pipi debout devant l'urinoir. Par contre, pour une femme ,c'est pas pratique ,j'en avais partout. A la lumière des néons blafards ,je voyais plein de petites gouttes dorées sur mon sexe collant. J'avais quelques trainées de pipi sur les cuisses et quelques gouttes sur les chaussures.

Le cinéma était au moins à 400 m et j'avais maintenant plein d'auréoles sur la robe. Carla était furieuse

-« tu me fais honte » m'a t'elle dit!

 

 

 

 Au ciné je me suis assise la robe retroussée et les jambes grandes ouvertes ,les pieds reposant sur les accoudoirs des fauteuils de devant. Carla m'a dit:

c'est incroyable une femme comme toi! t'as vraiment le feu au corps »

 

 

 

 j'ai commencé à me masturber et à sentir mes doigts ,c'est vrai que l'odeur était forte. Carla qui me regardait dit :

t'es vraiment la plus grande salope que j'ai pu rencontrer »

 

 

 

.La phrase m'a fait abondamment mouiller et me suis masturbée pour atteindre un orgasme puissant..    
le film terminé, au moment de nous quitter, je lui ai demandé de me prêter sa ceinture. Après me l'avoir mise je l'ai attachée à ma taille, j'ai remonté la robe jusqu'au pubis, ce qui permettait de voir toutes les trainées sur mes cuisses .je lui ai souri et en la quittant je lui ai dit :

je te fais envie ,hein ? »

 elle a simplement dit :

·        »salope»

·         j'ai dit merci ;    

 

 

quelle poèsie se dégage de ces propos , n'est ce pas ?

je trouve vraiment que mon blog s'éloigne un peu de l'érotisme!

il va falloir y remédier!

 

 

 

 

 
 
Par coralie - Publié dans : récit
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 16:25

J'avais 18 ans et mon copain 22. Il était déjà pervers et voulait que je ne mette que des mini-jupes alors qu'en 1978 ce n'était plus la mode. Imaginez le regard des hommes sur moi ! il venait de sortir un film porno qui a eu du succès à cette période, je ne sais pas si vous en avez entendu parler , »le sexe qui parle ».  

Donc nous arrivons au cinéma, à l'époque il existait des cinémas pornos spécialisés, je portais quand même un slip sous ma mini, par contre j'avais un chemisier sans soutien-gorge ( sans sous-tif , c'était la mode ).

 Bien évidemment mon copain choisit une rangée ou il y a beaucoup de monde .Que des hommes bien sûr, si bien que mon arrivée ne  passe pas inaperçue.

Il choisit deux places au milieu de la rangée, j'étais donc obligée d'enjamber au moins dix hommes avant de prendre ma place. Ceux ci évidemment ne se privent pas de m'effleurer légèrement au passage.

Je me trouve à coté de mon copain et ,de l'autre, un inconnu qui doit avoir une quarantaine d'années. Au début mon copain me caresse  doucement les cuisses . Puis il remonte  tout en m'incitant à ouvrir les jambes . L'inconnu  nous regarde faire en perdant tout intérêt au film. Puis mon copain me demande d'enlever ma culotte pendant qu'il dégrafe mon chemisier.

Je refuse , il me répond que je ne suis pas crédible vu l'excitation que j'ai; en effet déjà à l'époque je mouillais beaucoup et ma culotte était trempée. Il me retire ma culotte sans que je ne me défende fermement et me caresse ouvertement l'entrejambe.

Je sens une chaleur violente et intense s'emparer de mon ventre.

 Une main me caresse les seins . Je regardais le film où curieusement la scène se passait au cinéma et dans lequel l'actrice principale se faisait caresser par deux inconnus. C'est lorsque je sentis une troisième main sur ma cuisse que je compris que l?inconnu à ma gauche s'activait également à me peloter. Mon coeur s'accélère et je commence à jouir. Mon copain, qui a senti la main de l'inconnu , retire la sienne puis se lève et il me dit qu'il va aux toilettes .En partant il  dit quelques mots à son voisin de droite.  


 

 

L'autre à gauche continuait à me doigter et à me malaxer les seins. Quelques secondes après l'inconnu qui était à droite de mon copain se rapproche sur le fauteuil vacant et se met lui aussi à me caresser .Je commence à haleter de bien être ce qui  fait retourner le spectateur de devant qui a pu  avoir cette vision d'une salope complètement écartée et se faisant doigter par des inconnus dans un cinéma porno. Dans le film les deux hommes proposent à l'actrice d'aller la sauter dans les toilettes. Evidemment mes deux inconnus me proposent la même chose, et voulant retrouver mon copain je les  suis. Je suis à nouveau obligée d'enjamber tous les autres hommes de la rangée et là ce n'est plus la même chose. Imaginez une fille qui passe devant eux jupe retroussée, chatte dégoulinante à l'air, les seins qui balottent devant le chemisier ouvert., j'avais plein de mains partout je ne pouvais plus avancer on me forçait de partout, si bien que j'imaginais que tout le cinéma allait me passer dessus .Et curieusement l'idée ne m'affolait même pas .

En fin de compte ce sont les deux inconnus qui m'ont tirée par les bras pour m'emmener aux toilettes. Par contre là-bas, pas de trace de mon copain. Les deux inconnus ont commencé par sortir leur queue en me disant que j'allais me régaler.

 Je suis  sortie en courant, et sur le trottoir, mon copain m'attendait en fumant une cigarette. Il m'a simplement demandé :

-ça t'as plu ?

je lui ai collé une gifle bien méritée et ne l'ai jamais revu .

Mais j'avoue que la situation était torride et m?avait beaucoup excitée

 

Maintenant je vais moins souvent au ciné,mais je suis sûr bandes de coquins que vous auriez bien aimé être à coté de moi

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 18:07

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lors de son retour en France, Sandrine m’a emmenée avec elle, cela me permettait de parfaire mon français et peut être aussi de trouver un travail là bas. J’en ai trouvé un dans un bar de nuit.

 

 Si bien que de jour comme de nuit, mes tenues vestimentaires ne changeaient pas. Mini-jupes et bottes pour la journée avec chemisiers à col haut, mini-jupes et talons aiguilles la nuit avec chemisiers très échancrés sur mes seins mis en valeur par un soutien-gorge à balconnet. Par contre la nuit je mettais des collants car j’avais trop souvent des mains entre mes jambes.
C’était un boulot que j’aimais bien, n’étant pas farouche j’excitais et dominais les hommes.

 

J’avais également beaucoup de possibilités d’arrondir mes fins de mois sans trop de risques et d’efforts.
Sandrine qui en fait n’était pas lesbienne, préférait largement les hommes, ce que je comprenais tout à fait . Un jour elle a ramené un dénommé Cédric. C’était paraît –il le grand amour.

 

Effectivement Sandrine paressait radieuse. Une fois alors que Sandrine n’était pas là, il est rentré discrètement à l’improviste, et j’ai été très surprise de le voir débarquer dans la salle de bain alors que je me préparais pour me rendre à mon travail. Il avait la queue à la main et tout en l’agitant, il faisait des commentaires sur ma tenue de pute qui faisait bander tous les hommes du bar.

 

Pour toute réponse il reçu mon pied dans les parties. Quelques mois plus-tard, alors que je rentrais souillée comme souvent de mon boulot vers les 5 heures du matin, je trouve Sandrine sur le canapé du salon triste et mélancolique. Elle dit simplement

" il ne me touche plus, je suis sur qu’il a une maîtresse "

 Je ne l’ai pas démenti l’ayant vu une fois en ville avec une pouffiasse habillée comme moi.

 

 Alors je l’ai prise dans les bras, je l’ai caressée, embrassée et aimée comme je ne l’avais jamais fait. Je l’ai fais jouir plusieurs fois et un bruit derrière la porte de la chambre me faisait penser que Cédric devait mater et se branler .Je crois que c’était la première fois que j’aimais quelqu’un en lui faisant l’amour



J’ai quitté l’appartement de Sandrine pour en rechercher un personnel. j’ai changé de travail J’ai rencontré un homme délicat et charmant . Nous nous sommes mariés.

 Mes jupes ont été moins courtes et je portais des sous-vêtements. J’aimais mon mari ,le respectait .Mon passé de salope prête à tout me semblait loin. Par contre notre sexualité était très triste et je simulais régulièrement la jouissance


Puis il m’a demandé petit à petit en fantasmant de m’habiller plus court, de me promener sans culotte et finalement je me retrouvais dans la situation antérieure surtout la fois où je suis rentrée complètement souillée lors d’une soirée un peu arrosée au boulot.


Ainsi Monsieur qui rêvait d’une salope, ne pouvait plus supporter par la suite d’en avoir une à la maison.


Nous nous sommes quittés et l’expérience s’est renouvelée avec mon autre mari. Sans doute avais je un physique trop généreux pour faire une honnête mère de famille.




C’est vrai que je ne peux concevoir la baise sans sperme.
Le sperme peut être consommé avec délectation sans modération
Médicalement c’est très riche en protéines et une douche de sperme est un excellent anti-rides, associé au fait qu’il repousse le développement des boutons et points noirs.
Il peut être consommé directement par traite directe du mâle avec la bouche, ou lapé directement entre les cuisses de la femelle. D’ailleurs pour le terme laper n’utilise t-on pas des mots comme chatte, minou ?

 

 



Les dernières expériences vécues l’on été sur le net. C’est marrant, très direct aussi et peut être hard et excitant.

 

 


J’en ai terminé de mon récit : j'espère que cela vous a plu,j'ai encore d'autres expériences torrides à vous raconter et ce sont vos commentaires qui m'inciteront à continuer!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:48

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le lendemain en retrouvant Sandrine, celle ci m’a bien fait comprendre qu’elle ne voulait pas renouveler l’expérience du train, elle avait eu trop peur, par contre elle m’a avoué qu’elle avait adoré s’exhiber.

 

Je l’invite donc à faire une promenade, j’étais toujours uniquement vêtue d’une mini-jupe extra courte et d’un chemisier transparent sans rien d’autre et Sandrine d’une robe mi-cuisse. J’ai pu vérifier en passant ma main qu’elle n’avait rien sous sa robe, donc que l’on pouvait continuer les provocations.

 

 Cette fois je l’emmenai sur un talus qui borde l’autoroute;

 on s’est assises en haut du talus, jambes repliées et un peu ouvertes, le vent du passage des camions qui klaxonnaient nous excitaient et je pouvais constater que Sandrine mouillait abondamment. C’est alors qu’au moment ou j’allais me glisser entre ses cuisses pour la sucer avec délectation, qu’elle me dit "

non pas maintenant, Cochonou m’a honoré ce matin et je ne suis pas très propre "

La colère m’a pris et lui dit

" on ne dit pas Cochonou m’a honoré, mais Cochonou m’a souillé, m’a pollué "

 Je suis rentrée dans une colère et décidai de me venger.

Le lendemain je passais devant la boutique de chaussures et décidai de suivre la vendeuse pour en connaître un peu plus sur sa vie privée. Après quelques jours de filature et interrogation de son entourage, je sus qu’elle habitait un beau quartier pas très loin de chez moi et en plus elle vivait avec une amie et son patron pensait effectivement qu’elle devait être lesbienne( le patron n’a pas été avare de confidences quant j’étais assise en face de lui en faisant un jeu de jambes))

 

J’entrepris donc de me rendre dans la boutique pour draguer ostensiblement la vendeuse, et celle ci ,vu ma tenue et mon physique, n’est pas restée insensible. Je lui fis part de mon projet pour me venger de Cochonou et elle accepta de servir d’appât.

Le coup monté, il ne restait qu à le finaliser. Le lendemain devant Sandrine et Cochonou, j’ai dit que la vendeuse de chaussures (qui s’appelait Rosetta) s’était complètement exhibée devant moi et qu’elle ne portait pas de sous-vêtement. Bien sur Sandrine a confirmé le contraire.

 

Je savais que cet obsédé de Cochonou allait vérifier, et j’avais demandé à Rosetta tout en l’excitant de lui fixer rendez-vous chez elle. Ainsi le lendemain j’ai su que Rosetta avait pu obtenir un rendez-vous avec Cochonou et qu’ils se retrouveraient chez elle vers 15 heures.

 

J’ai donc demandé à Sandrine de m’accompagner soit disant chez une amie, j’avais pris le gode dans mon sac. Arrivé chez Rosetta qui m’avait laissé une clé, on rentra doucement dans le salon. Rosetta était allongée sur le dos, et Cochonou comme convenu, à quatre pattes entre ses cuisses.

 Sandrine était hors d’elle, je me suis mise sur le dos de Cochonou pour l’empêcher de se relever en sortant le gode en lui disant qu’il méritait une correction, Rosseta lui serra très fort la tête entre ses cuisses. J’ai mis le gode avec la ceinture autour de ma taille comme si j’avais un sexe et j’ai demandé à Sandrine de me remplacer en montant sur le dos de Cochonou.

 

Je suis passé derrière Cochonou et j'ai forcé sans préliminaire son petit trou. Il beuglait que nous étions des salopes, qu’il avait mal.

J’ai enlevé ma robe ,je l’ai roulé et placé sur la tête de Cochonou pour en faire des rennes, comme si c’était un cheval. La robe permettait de mettre la tête en arrière et éviter qu’il ne morde Rosetta. Il se débattait, Sandrine lui claquait les fesses et le dos, et Rosetta le giflait pendant que moi je continuais à l’enculer. Il est parti en criant nous traitant de tous les noms. On ne l’a jamais revu. Quand nous nous sommes retrouvées toutes les trois nous avons éclaté de rire et j’ai pris la main de Sandrine et lui ait demandé de s’allonger. Elle n’a pas résisté. je me suis alors retournée vers Rosetta et je lui ai dit " prends la ,c’est ta récompense à ta participation "

J’étais donc devenue une femme perverse , calculatrice et dominante

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:32

Promenade sans culotte


Après le séjour en camping, je suis retournée à Barcelone, il fallait que je trouve un boulot. J’avais loué un studio, grâce à l’argent prêté par ma tante. J’étais un peu désœuvrée et m’ennuyais ferme Je ne sais pas si c’était le traitement que j’avais.subi en camping, mais j’avais encore grossi, surtout de la poitrine et j’avais mis une petite robe courte qui devenait très moulante surtout au niveau du ventre que je ne cachais pas

 

J’étais à la terrasse d’un café et à la table voisine il y avait un couple. L’homme était assis en face de moi et la femme me tournait le dos. Si l’homme était insignifiant un genre cochonou, la femme elle était une grande brune élancée, par contre Cochonou n’arrêtait pas de regarder mes jambes. C’est vrai que j’avais une culotte mais ma robe était courte et j’avais toujours la mauvaise habitude de ne pas serrer les cuisses. Une envie d’exhibition m'a pris au ventre,et que je ne pourrais expliquer, je me suis levée tout en ayant bien pris soin de bien écarter les cuisses devant Cochonou et me dirigeai vers les toilettes, j’otais mon slip et je revins à la table en y déposant ma culotte dessus et ouvris bien les cuisses.

Cochonou n’en revenait pas il avait le regard littéralement scotché sur mon entre-jambe et je sentais que cela me plaisait bien. Evidemment son regard insistant n’etait pas sans étonner sa femme qui se retourna et me vit dans cette position, je lui souris, mais pour toute réponse elle lâcha "Quelle salope ".

 

 Puis ils quittérent la table l’homme avec un petit sourire en coin. Par contre j’ai eu le temps de voir le visage de la femme , je l’ai bien regardé partir et je la trouvai très belle. N’ayant rien à faire de particulier et laissant ma culotte sur la table je les suivis de loin. Ils prirent le bus direction l’extérieur de la ville, là où il y a beaucoup de campings.

 A la descente du bus je leur laisse prendre de la distance, ils rentrent dans le deuxième camping et se dirigent vers la 3eme allée, là où il y a beaucoup de caravanes. Je les vois rentrer dans l’une d’entre elle. C’était ce que je voulais, savoir : où ils habitaient !

 


Puis quelques minutes après, ne sachant que faire, je vois Cochonou sortir avec une paire de boules de pétanque, un bob Ricard sur la tête, le parfait beauf.. Pendant qu’il s’éloigne je me rapproche de la caravane, je vois la femme qui plie des vêtements, je lui dis "

- coucou, on fait des tâches ménagères pendant que Cochonou va faire une pétanque ? " Elle éclate de rire et me dit

-" Comment tu l’as appelé, Cochonou ? "

Et elle repart d’un grand rire Nous avons discuté et sympathisé.

 

 Pendant trois jours nous nous revoyons régulièrement avec ou sans Cochonou qui était en général derrière ou devant. Une grande complicité s’était installée. Elle s’appelait Sandrine Un après-midi pendant lequel Cochonou était parti à la pèche, elle me pose la question que j’attendais

-"et tu ne portes jamais de culotte ? "

Je lui ai expliqué les raisons multiples de mon choix, sensation de légèreté, de liberté de mouvement, part d’exhibitionnisme, sentiments d’excitation, désirs de provoquer, sentiments de puissance devant les hommes qui sont souvent interloqués au premier abord.

-" Et bien on va essayer dit elle en enlevant son string noir. " Elle s’est levée et nous sommes parties faire les magasins.

 

Finalement elle a trouvé cela très excitant et agréable. Elle avait une jupe courte légère un peu évasée et je pensais qu’heureusement pour elle ce premier jour il n’y avait pas de vent. On passe devant un magasin de chaussures, il y avait une vendeuse en mini accroupie et elle me dit "

tu penses qu’elle aussi a une culotte ?

" Je lui réponds,

-"va vérifier.

-" Oui, mais elle va voir que je n’en ai pas ?

Je le lui réponds "

eh! alors, ce sera ta première exhibition et tu pourras voir si cela t’as plu. !

 

Effectivement une fois que le dernier client que servait la vendeuse fut parti, Sandrine s’est assise à sa place avec une paire de chaussure à essayer. Ce que n’avait pas prévu Sandrine c’est que la banquette était en face d’un miroir et que ce miroir se reflétait dans la vitrine, si bien qu’étant à l’extérieur de la boutique on pouvait très bien distinguer l’entrejambe poilue de Sandrine, quand la vendeuse n’était pas devant.

Alors pour les badauds qui venaient admirer les chaussures, en regardant à l’intérieur du magasin c' était une autre vision. Ils attendaient patiemment que Sandrine ouvre les cuisses en essayant les chaussures et pouvoir admirer son petit minou poilu. La vendeuse qui devait en avoir vu d’autres ne manifestait aucun étonnement.

Finalement en sortant, Sandrine était très étonnée de voir tant de monde devant la boutique surtout sous le regard dédaigneux de quelques femmes et le regard admiratif des hommes. Elle m’a demandé de lui expliquer la situation, et comprenait qu’elle s’était ainsi sans le savoir exhibée devant plusieurs hommes et femmes.

 

On arrivait près de la gare, il y avait un sexe shop, j’ai acheté un gode, Sandrine m’a demandé pour quoi faire, je lui ai dit

-"tu verras plus tard. "

 Cela parut la satisfaire et je me doutais bien que la sexualité avec Cochonou devait être très triste. Par contre pour traverser les voies devant la gare, il y avait une passerelle, elle s’y dirigea volontairement et monta les marches, à la dernière elle s’arrêta une jambe sur une marche l’autre sur celle d’en dessous. Quand j’ai vu des gens en dessous qui attendait le train’j’ai compris son jeu. Elle voulait que les voyageurs la voient sous toutes les coutures.

 Elle était méconnaissable les yeux embuées dans le vague essayant toujours d’écarter le plus possible les cuisses. Moi qui étais déjà au même niveau qu’elle je savais que rien qu’en étant debout ils pouvaient aisément voir que nous n’avions pas de culotte. Bien entendu la station prolongée et la posture de Sandrine firent qu’un groupe d’hommes se concentra juste en dessous nous. Suffisamment excitées, nous traversons ensuite la passerelle pour aller sur le quai du TER .Comme deux zombies on pénétra dans le premier sans savoir ou il allait et sans billet (et sans culotte.)

C’était un vieux train à compartiments. On passait ainsi devant toutes sortes de stéréotypes, femmes avec enfants qui braillent, vieux qui toussent avec leurs chiens, beaufs qui mangent un sandwich à l’échalote, puis on passe devant un compartiment dans lequel il y avait quatre jeunes de banlieues qui évidemment s’empressent de siffler et de faire des commentaires Sandrine ne voulait pas entrer, mais je la poussais fermement. Les garçons nous laissèrent une place de chaque coté au milieu, si bien que nous étions toutes les deux entourées.

 

Sandrine était assise crispée, les jambes serrées Comme ils ne savaient pas quoi dire hormis des banalités, je me lève et soulève la jupe de Sandrine en disant

-"vous avez vu cette salope, elle ne met pas de culotte "

En plus en me penchant pour soulever celle de Sandrine, les deux autres pouvaient également voir que je n’en portais pas non plus. Alors des mains se sont mises à nous peloter à nous retrousser. Je me suis allongé sur la banquette jambes ouvertes soumises et offertes comme j’aime le faire quant la situation me plait. Sandrine par contre se débattait et criait, si bien qu’en désespoir de cause, les deux autres garçons après avoir fermer le compartiment sortirent également leurs queues en s’approchant de moi. Un m’avait enfilé, j’en suçai un deuxième pendant que les deux autres me pelotaient les seins en se masturbant.

 

 Je regardais Sandrine bouche bée qui me disait la phrase qui me touche tant

-"mais t’es une vraie salope "

C’est celui dans mon sexe qui a joui le premier il s’est retiré en laissant une traînée de foutre sur mes cuisses pendant qu’un deuxième s’installait à la place.je pense qu à l’époque je ne devais pas faire de bonne pipe car c’est de nouveau celui qui était dans ma chatte qui a encore éjaculé. Finalement le troisième s’est installé en disant avec plein de poésie

-"mais c’est un garage à bites cette pute là. "

 Celui que je suçais m’a balancé une rasade de sperme à travers la figure. Le train arrivait en gare, les garçons sont sortis en disant à Sandrine qu’elle devait regretter de ne pas en avoir goutté, mais je pense qu’elle n’était pas encore prête à ce genre de situation.

incroyable une perversité pareille!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:27

Les vacances en camping

J’ai revu ma mère une fois avant de sortir du pensionnat, j’avais 17 ans et je lui ai demandé la pilule. Elle a satisfait immédiatement à mon désir en me disant de bien en profiter car cela était merveilleux, mais que par contre la première fois il fallait être patiente. J’ai failli lui parler de mes expériences avec les autres filles mais finalement je me suis retenue, ne sachant si cela ne l’aurait pas contrariée de savoir sa fille lesbienne, alors qu’elle multipliait les conquêtes masculines
Tout à une fin et l’année en pensionnat étant achevée, je partis en vacances chez ma tante dans un petit village à coté de Barcelone. , Ma mère n’avait pas donné de nouvelles et ma tante avait une opinion plutôt négative d’elle. Elle la traitait de traînée et de femme facile. Heureusement que ma tante ne se rendait pas compte que je prenais le même chemin.

 


J’avais rencontré quelques garçons, mais c’est vrai qu’ils étaient maladroits et les situations n’étaient pas excitantes du tout. Un jour avec quatre copains avec qui j’avais plus ou moins flirter, Antonio avec qui j’ai couché deux fois mais sans suite véritable, Domingo un grand marrant à lunettes, Lucas un plus petit malicieux un peu pervers qui m’a sauté une fois et qui voulait que je fasse la pute pour lui, et Sébastian que je ne connaissais pas mais qui était un copain de Lucas, on avait décidé de partir en camping pendant quelques jours au bord d’une rivière dans les montagnes environnantes car il faisait très chaud

 

J ‘avais d’abord rencontré les trois premiers au bord de l’étang près de chez nous. Un jour où il faisait une température caniculaire et que je me promenais près de l’étang j’ai entendu des bruits de garçons qui se baignaient. Ils parlaient forts et à un moment l’un a dit " on joue à la mouche ? ", Intriguée car je ne connaissais pas ce jeu et que j’avais aussi envie de voir les garçons en maillot. Mais à ma grande surprise après avoir effectivement attrapé des mouches sur la berge, ils leur enlevèrent leurs ailes et chacun avait une mouche enfermée dans la main. Ils retirèrent leurs maillots, Lucas bandait énormément, Antonio et Domingo pas vraiment.

 Ils s’allongèrent au bord de l’eau de manière à n’avoir que le sexe et la tête hors d’eau. Les trois garçons bandaient et ils déposèrent la mouche en haut du gland là où la peau est retroussée.. Après quelques échanges verbaux que je n’entendais pas, le silence se fit et la sensation qu’ils ressentaient devait être agréable car Lucas fut le premier à lancer un jet de foutre qui projeta la mouche dans l’eau. Les autres suivirent ensuite ; C’était la première fois que je voyais des garçons nus et en plus qui éjaculaient, j’étais fascinée.

 


Donc nous avions décidé de faire une randonnée et d’aller camper près de la rivière. Nous partions à pieds, la distance à parcourir n’étant que de 10 km environ. Arrivée la-bas la première chose fut de prendre un bain dans la rivière car nous avions beaucoup transpiré par cette chaleur. Comme l’endroit était très calme et isolé, je n’ai pas hésité en m’éloignant des garçons à me baigner toute nue. Je les entendais au loin chahuter et je me demandais s’ils allaient renouveler le jeu de la mouche. Je décidais donc de sortir de l’eau j’enfilais seulement un grand T shirt qui m’arrivait à mi-cuisses et allais les rejoindre. Eux étaient nus également mais jouaient à s’asperger et aucun ne bandait.

 Je me suis arrêter sur un rocher en surplomb les jambes légèrement écartées pour ne pas perdre l’équilibre. C’est quand j’ai vu leurs regards que j’ai compris l’ambiguïté de la situation.ils avaient par-dessous une vue imprenable sur mon intimité et encore une fois plutôt que de m’éloigner de resserrer les jambes, je restais planté devant eux avec plaisir. Une douce chaleur s’est installée dans mon bas-ventre et j’aimais être regardée et exciter ces quatre garçons.


Donc en plus d’être lesbienne je devenais exhibitionniste

Bien surs les garçons étaient subjugués,par la vue que je leur procurai et je vis petit à petit leurs membres se dresser. Devant leur inertie et leurs stations figées j’ai tourné les talons et suis revenu à la tente. Ils m’ont rejoins, ils avaient remis leurs shorts, par contre d’un commun accord ils m’ont bien sur demandé de rester dans ma tenue. L’idée m’a paru excellente dans la mesure ou il faisait chaud et que de plus cela évitait de faire sa propre lessive.


Par contre le soir c’était plus délicat pour dîner. Etre assise en tailleur avec un T shirt sans rien, cela focalisait le regard des garçons entre mes cuisses. Lucas et Sébastian ont enlevé leurs shorts et sont venus près de moi, leurs sexes droits en érection. Les deux autres garçons rigolaient. J’étais comme au pensionnat, paralysé non pas par la peur, mais par un feu dans mon ventre. Je n’étais capable d’aucune réaction j’attendais entièrement soumise à leur bon vouloir. Lucas m’a mis sa verge dans la bouche et Sébastian m’a mise à quatre pattes pour me pénétrer. Les autres ne riaient plus et se sont rapprochés et lorsque Lucas s’est retiré après avoir explosé dans ma bouche il a demandé à Domingo de le remplacer. Et après que Sébastian a joui en m’inondant le vagin, il s’est retiré pour laisser la place à Antonio. J’ai joui plusieurs fois au cours de la nuit, mais c’était surtout ma situation de salope soumise qui m’excitait le plus. Après que les garçons aient tous déchargés, je me suis allongée sur le dos les jambes ouvertes et j’avais conservé mon Tshirt. Je fermais les yeux et ma position me rappelait l’internat sauf qu’à présent j’avais du sperme plein la figure et des traînées commençaient également à sortir de mon vagin. La vue de cette situation redonna vigueur aux garçons qui en alternance ont repris ma bouche et mon sexe. Lucas m’a même baisé trois fois

 


A la fin je n’en pouvais plus, cela me faisait mal et j’ai mis la main sur mon sexe pour éviter toute pénétration. Le matin l’odeur de sexe et surtout du mien me fit aller directement à la rivière pour me nettoyer. J’ai dû même laver mon Tshirt, Lucas s’étant masturbé dessus pendant que je dormais.


Bien sur les journées suivantes se sont déroulées de la même manière, ils n’étaient jamais rassasiés


J’ai ainsi pris mon premier baptême d’hommes et goûté les joies de l’éjaculation et du sperme 

j'aimerai un peu plus d'enthousiasmes pour les commentaires ou alors je m'inscris à un club de bridge et ferme ce blog!!!!!

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:20

Le pensionnat

Au début ce qui m’a manqué le plus au pensionnat, c’était l’affection. Ne voyant que très rarement ma mère j’étais en manque de bisous et de caresses. Petit à petit je me suis rapprochée de Maria qui était de deux ans mon aînée. J’aimais bien me pelotonner auprès d’elle le soir, elle me caressait les cheveux et me faisait des tendres bisous sur la joue. Au début donc elle remplaçait ma mère par l’affection quelle me donnait. Au cours des années je me rendais compte de son changement physique, ses seins se développaient, au lavabo (car il n’y avait pas de douche encore dans ce pensionnat), je pouvais apercevoir la pilosité naissante de son pubis. Elle m’apprenait petit à petit et tout doucement ce qu’était un corps de femme. Elle avait déjà 15 ans et moi 13.Ses caresses et ses baisers se faisaient plus précis. Elle me caressait volontiers le ventre, les cuisses et m’embrassait le coin de la bouche.


J’aimais cette complicité et également reposer ma tête sur sa poitrine qui devenait importante. Elle ne jouait plus le rôle d’une mère mais plutôt d’une amie d’une confidente. Moi également ma morphologie changeait. A 16 ans j’avais déjà une belle poitrine et une toison bien brune. Mes hanches n’étaient pas aussi larges que maintenant. Par contre les caresses de Maria se faisaient plus précises et ne me laissaient pas indifférente. Elle caressait volontiers mes seins et si nous étions seules elle les couvrait de baisers et s’attardait également à caresser mon pubis et le couvrir de baisers sans jamais le pénétrer.


Je dormais la nuit toujours sur le dos, nous avions toutes une chemise de nuit blanche en coton qui s’arrêtait aux genoux –rien d’érotique-Mais il faisait tellement chaud que je dormais la combinaison remontée à la limite du pubis et les jambes légèrement ouvertes.

Une nuit un glissement s’est produit au bas de mon lit et j’ai senti une bouche m’embrasser le bas des jambes puis remonter doucement tout en continuant les bisous. Une chaleur intense que je n’avais jamais connue jusque là m’envahit. Je fermai les yeux et reconnus les caresses de Maria. Alors qu’elle remontait au-dessus des genoux en s’insinuant entre mes cuisses qu’elle continuait à embrasser, je lui facilitai le passage en relevant les jambes et en les écartant davantage. Elle se dirigea vers mon sexe et le contact de sa langue fut une véritable décharge électrique. Je ne pouvais plus penser, seulement jouir de l’instant. Pendant au moins une demi-heure elle me suça les seins,et le sexe. Quand elle se rapprocha pour m’embrasser la bouche je sentis l’odeur de mon sexe et je trouvai cela très agréable. C’est ainsi que j’ai pu me rendre compte que mes secrétions étaient exquises et j’ai compris pourquoi par la suite beaucoup de personnes aimaient me sucer avec délectation. !


Cela a duré plusieurs mois, mais c’était toujours elle qui prenait l’initiative. Elle voulait bien que je la caresse, surtout les seins mais ne voulait pas que je la suce. Je n’ai jamais su pourquoi d’ailleurs, peut être un sentiment maternel refoulé ? . En tout cas je gémissais toutes les nuits et mes copines de chambrée se mettaient l’oreiller sur la tête, énervées d’entendre mes râles

 


Puis un jour Maria  partit dans sa famille pour quelques jours. Je restai au pensionnat et me sentis bien seule. La première nuit, je m’apprêtais à m’endormir, quand je sentis le glissement d’une tête entre mes jambes. Rapidement une bouche alla directement à mon minou, après m’avoir écarté les jambes.

 Je fermai les yeux et me laissai faire et l’excitation vint très vite en me demandant qu’elle etait la pensionnaire qui se permettait de me goûter sans me le demander. Je me surpris à rester disponible à la caresse de l’inconnue, mais il est certain que ce ne pouvait être Maria, ce n’etait absolument pas sa façon de faire.

 Je me mis à jouir fort de l’excitation de la situation et ma voisine de lit qui pensait dormir tranquille après le départ de Maria ne put s’empêcher de dire "encore, mais tu es une vraie salope !!! "J’ouvris un oeil, ce qui me permit de constater  dans la pénombre que l’inconnue qui me sucait se masturbait en même temps.

Nous jouissions toutes les deux très fort presque en même temps. L’inconnue  repartit ensuite sans un mot au fond du dortoir, si bien que je n’ai pus savoir qui c’était. Le scénario se répéta les nuits suivantes, j’attendais les cuisses écartées et la chemise de nuit complètement retroussée qu’une inconnue me suce en se masturbant. J’avais le feu au ventre en attendant la tête qui allait s’enfouir dans mon sexe.

Rien que d’imaginer qu’elles pouvaient être plusieurs, qu’elles allaient venir à tour de rôle me rendait folle. Mais c’était la même inconnue qui venait je la reconnaissais à ses manières directes de se précipiter dans mon intimité et l’explorer brutalement en me pétrissant les seins. Je crois avoir reconnu Isabel, une grande fille élancée avec très peu de poitrine et très peu de pilosité.

 


Le quatrième jour, Maria est rentrée de nouveau au pensionnat, nous avons parlé de son séjour dans sa famille, mais je ne lui ai rien dit sur mes aventures nocturnes.


Le soir j’attendais écartée et retroussée que l’on vienne me lécher comme j’aime tant. Un léger bruissement puis aussitôt une bouche sur mon sexe, je reconnais Isabel. Je suis très surprise de la situation, mais laisse évidemment l’histoire suivre son cours. C’est au moment où nous commencions à jouir en poussant des petits cris d’extase que Maria est arrivée. Elle m’a traité de petite pute, de tous les noms et m’a dit que j'allais être punie d’être une petite jouisseuse que n’importe qui pouvait posséder.. Tout en laissant Isabel continuer à me lécher, elle monta sur le lit et se mit à califourchon sur ma figure, son sexe devant ma bouche et mes narines. Et là je dois dire que l’odeur était difficilement soutenable, un mélange de transpiration et d’urine une odeur acre. Mais Maria semblait déchaînée et se frottait sur mon nez. Je suffoquais. Pourtant Isabel me suçait bien.

 Petit à petit Maria se mit à être plus humide, à mouiller abondamment et l’odeur forte commença à s’estomper pour être remplacée par un fumet agréable et excitant. J’ai donc sorti ma langue et entrepris de la nettoyer à la léchant partout. Maria me dit " continue salope, je vais faire de toi la plus belle des salopes"

Elle ne croyait pas si bien dire

je continue ?

Par coralie - Publié dans : récit
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:06

vous ne trouverez aucune poésie à travers ces lignes, je suis une femme très directe, si certains ou certaines veulent plus de poésie ou de détails, je les renvoie à des auteurs passionnants comme BALZAC, et de la même manière s'ils veulent plus de détails durant l'acte je les renvoie à des publications érotiques ou pornographiques dans lesquelles l'acte sexuel est décrit pendant plusieurs pages soporifiques.

 

 D'autre part certains trouveront étonnant la rapidité de l'évolution des situations, mais je suis obligée de faire court pour éviter un roman de plusieurs tomes.

 

 Par contre je vous demanderai de ne rien envoyer sur ma messagerie personnelle, je ne répondrai que sur le blog pour que tout le monde puisse en profiter et que je n'écrive pas toujours les mêmes choses.

 


Ma sexualité qui a commencé en tant que fille soumise, s'est transformée au fur et à mesure en femme calculatrice dominatrice et perverse.

Vous verrez au cours de ce récit l'évolution du personnage partant d'une adolescente timide, docile en manque totale d'affection en une femme dominatrice et dont le seul objectif est son plaisir personnel à travers des situations plus ou moins surprenantes.

 En fait c'est la situation qui m'excite et non l'acte lui-même, c'est une des raisons pour lesquelles je ne décrirai que les moments qui provoquent ces situations, qu'ils aient été provoqués par ma tenue vestimentaire, par mon comportement ou de façon totalement inattendue. Après l'excitation contenue dans la situation qui peut être parfois hard je l'avoue, l'acte par lui-même ne sert que pour garder la pression et permettre aux partenaires d'arriver au moment que j'attends le plus, l'éjaculation. En effet c'est de cette manière que j'atteins complètement ma jouissance. Ce n'est qu'avec une ou des éjaculations de sperme que je suis satisfaite et peux aller chercher ma liqueur préférée directement sur le membre d'un partenaire(ce que j'appelle traire) ou dans le sexe d'une femme qui a été préalablement rempli.


Pour couronner le tout, j'étais assez pulpeuse et donc considérée comme appétissante, maintenant l'âge a fait que je reste attirante .


Je suis d'origine espagnole née en 1960 dans un petit village à coté de MADRID. Mes parents se sont séparés et je vivais au début surtout avec ma mère. Celle-ci était une très belle femme mais je ne connaissais rien de sa vie qui je pense devait être tourmentée et n'ai jamais su ce qu'elle faisait ni les personnes qu'elle fréquentait. Elle a eu par moment des ennuis avec la police ce qui me fait dire que ses activités n'étaient pas toujours licites et je dois dire que sous un régime FRANQUISTE, la liberté et de plus celle des moeurs n'était pas facile à obtenir. N'ayant également jamais connu mon père, je fus donc placée dès l'âge de 10 ans dans un pensionnat

 

 

 

C'est le début de mon récit:Si vous voulez que je continue ,à vous de m'encourager par vos commentaires:

pour les inconditionnels des photos j'ai remis un nouvel album

Par coralie - Publié dans : récit
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