Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:20

Le pensionnat

Au début ce qui m’a manqué le plus au pensionnat, c’était l’affection. Ne voyant que très rarement ma mère j’étais en manque de bisous et de caresses. Petit à petit je me suis rapprochée de Maria qui était de deux ans mon aînée. J’aimais bien me pelotonner auprès d’elle le soir, elle me caressait les cheveux et me faisait des tendres bisous sur la joue. Au début donc elle remplaçait ma mère par l’affection quelle me donnait. Au cours des années je me rendais compte de son changement physique, ses seins se développaient, au lavabo (car il n’y avait pas de douche encore dans ce pensionnat), je pouvais apercevoir la pilosité naissante de son pubis. Elle m’apprenait petit à petit et tout doucement ce qu’était un corps de femme. Elle avait déjà 15 ans et moi 13.Ses caresses et ses baisers se faisaient plus précis. Elle me caressait volontiers le ventre, les cuisses et m’embrassait le coin de la bouche.


J’aimais cette complicité et également reposer ma tête sur sa poitrine qui devenait importante. Elle ne jouait plus le rôle d’une mère mais plutôt d’une amie d’une confidente. Moi également ma morphologie changeait. A 16 ans j’avais déjà une belle poitrine et une toison bien brune. Mes hanches n’étaient pas aussi larges que maintenant. Par contre les caresses de Maria se faisaient plus précises et ne me laissaient pas indifférente. Elle caressait volontiers mes seins et si nous étions seules elle les couvrait de baisers et s’attardait également à caresser mon pubis et le couvrir de baisers sans jamais le pénétrer.


Je dormais la nuit toujours sur le dos, nous avions toutes une chemise de nuit blanche en coton qui s’arrêtait aux genoux –rien d’érotique-Mais il faisait tellement chaud que je dormais la combinaison remontée à la limite du pubis et les jambes légèrement ouvertes.

Une nuit un glissement s’est produit au bas de mon lit et j’ai senti une bouche m’embrasser le bas des jambes puis remonter doucement tout en continuant les bisous. Une chaleur intense que je n’avais jamais connue jusque là m’envahit. Je fermai les yeux et reconnus les caresses de Maria. Alors qu’elle remontait au-dessus des genoux en s’insinuant entre mes cuisses qu’elle continuait à embrasser, je lui facilitai le passage en relevant les jambes et en les écartant davantage. Elle se dirigea vers mon sexe et le contact de sa langue fut une véritable décharge électrique. Je ne pouvais plus penser, seulement jouir de l’instant. Pendant au moins une demi-heure elle me suça les seins,et le sexe. Quand elle se rapprocha pour m’embrasser la bouche je sentis l’odeur de mon sexe et je trouvai cela très agréable. C’est ainsi que j’ai pu me rendre compte que mes secrétions étaient exquises et j’ai compris pourquoi par la suite beaucoup de personnes aimaient me sucer avec délectation. !


Cela a duré plusieurs mois, mais c’était toujours elle qui prenait l’initiative. Elle voulait bien que je la caresse, surtout les seins mais ne voulait pas que je la suce. Je n’ai jamais su pourquoi d’ailleurs, peut être un sentiment maternel refoulé ? . En tout cas je gémissais toutes les nuits et mes copines de chambrée se mettaient l’oreiller sur la tête, énervées d’entendre mes râles

 


Puis un jour Maria  partit dans sa famille pour quelques jours. Je restai au pensionnat et me sentis bien seule. La première nuit, je m’apprêtais à m’endormir, quand je sentis le glissement d’une tête entre mes jambes. Rapidement une bouche alla directement à mon minou, après m’avoir écarté les jambes.

 Je fermai les yeux et me laissai faire et l’excitation vint très vite en me demandant qu’elle etait la pensionnaire qui se permettait de me goûter sans me le demander. Je me surpris à rester disponible à la caresse de l’inconnue, mais il est certain que ce ne pouvait être Maria, ce n’etait absolument pas sa façon de faire.

 Je me mis à jouir fort de l’excitation de la situation et ma voisine de lit qui pensait dormir tranquille après le départ de Maria ne put s’empêcher de dire "encore, mais tu es une vraie salope !!! "J’ouvris un oeil, ce qui me permit de constater  dans la pénombre que l’inconnue qui me sucait se masturbait en même temps.

Nous jouissions toutes les deux très fort presque en même temps. L’inconnue  repartit ensuite sans un mot au fond du dortoir, si bien que je n’ai pus savoir qui c’était. Le scénario se répéta les nuits suivantes, j’attendais les cuisses écartées et la chemise de nuit complètement retroussée qu’une inconnue me suce en se masturbant. J’avais le feu au ventre en attendant la tête qui allait s’enfouir dans mon sexe.

Rien que d’imaginer qu’elles pouvaient être plusieurs, qu’elles allaient venir à tour de rôle me rendait folle. Mais c’était la même inconnue qui venait je la reconnaissais à ses manières directes de se précipiter dans mon intimité et l’explorer brutalement en me pétrissant les seins. Je crois avoir reconnu Isabel, une grande fille élancée avec très peu de poitrine et très peu de pilosité.

 


Le quatrième jour, Maria est rentrée de nouveau au pensionnat, nous avons parlé de son séjour dans sa famille, mais je ne lui ai rien dit sur mes aventures nocturnes.


Le soir j’attendais écartée et retroussée que l’on vienne me lécher comme j’aime tant. Un léger bruissement puis aussitôt une bouche sur mon sexe, je reconnais Isabel. Je suis très surprise de la situation, mais laisse évidemment l’histoire suivre son cours. C’est au moment où nous commencions à jouir en poussant des petits cris d’extase que Maria est arrivée. Elle m’a traité de petite pute, de tous les noms et m’a dit que j'allais être punie d’être une petite jouisseuse que n’importe qui pouvait posséder.. Tout en laissant Isabel continuer à me lécher, elle monta sur le lit et se mit à califourchon sur ma figure, son sexe devant ma bouche et mes narines. Et là je dois dire que l’odeur était difficilement soutenable, un mélange de transpiration et d’urine une odeur acre. Mais Maria semblait déchaînée et se frottait sur mon nez. Je suffoquais. Pourtant Isabel me suçait bien.

 Petit à petit Maria se mit à être plus humide, à mouiller abondamment et l’odeur forte commença à s’estomper pour être remplacée par un fumet agréable et excitant. J’ai donc sorti ma langue et entrepris de la nettoyer à la léchant partout. Maria me dit " continue salope, je vais faire de toi la plus belle des salopes"

Elle ne croyait pas si bien dire

je continue ?

Par coralie - Publié dans : récit
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