Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 17:32

Promenade sans culotte


Après le séjour en camping, je suis retournée à Barcelone, il fallait que je trouve un boulot. J’avais loué un studio, grâce à l’argent prêté par ma tante. J’étais un peu désœuvrée et m’ennuyais ferme Je ne sais pas si c’était le traitement que j’avais.subi en camping, mais j’avais encore grossi, surtout de la poitrine et j’avais mis une petite robe courte qui devenait très moulante surtout au niveau du ventre que je ne cachais pas

 

J’étais à la terrasse d’un café et à la table voisine il y avait un couple. L’homme était assis en face de moi et la femme me tournait le dos. Si l’homme était insignifiant un genre cochonou, la femme elle était une grande brune élancée, par contre Cochonou n’arrêtait pas de regarder mes jambes. C’est vrai que j’avais une culotte mais ma robe était courte et j’avais toujours la mauvaise habitude de ne pas serrer les cuisses. Une envie d’exhibition m'a pris au ventre,et que je ne pourrais expliquer, je me suis levée tout en ayant bien pris soin de bien écarter les cuisses devant Cochonou et me dirigeai vers les toilettes, j’otais mon slip et je revins à la table en y déposant ma culotte dessus et ouvris bien les cuisses.

Cochonou n’en revenait pas il avait le regard littéralement scotché sur mon entre-jambe et je sentais que cela me plaisait bien. Evidemment son regard insistant n’etait pas sans étonner sa femme qui se retourna et me vit dans cette position, je lui souris, mais pour toute réponse elle lâcha "Quelle salope ".

 

 Puis ils quittérent la table l’homme avec un petit sourire en coin. Par contre j’ai eu le temps de voir le visage de la femme , je l’ai bien regardé partir et je la trouvai très belle. N’ayant rien à faire de particulier et laissant ma culotte sur la table je les suivis de loin. Ils prirent le bus direction l’extérieur de la ville, là où il y a beaucoup de campings.

 A la descente du bus je leur laisse prendre de la distance, ils rentrent dans le deuxième camping et se dirigent vers la 3eme allée, là où il y a beaucoup de caravanes. Je les vois rentrer dans l’une d’entre elle. C’était ce que je voulais, savoir : où ils habitaient !

 


Puis quelques minutes après, ne sachant que faire, je vois Cochonou sortir avec une paire de boules de pétanque, un bob Ricard sur la tête, le parfait beauf.. Pendant qu’il s’éloigne je me rapproche de la caravane, je vois la femme qui plie des vêtements, je lui dis "

- coucou, on fait des tâches ménagères pendant que Cochonou va faire une pétanque ? " Elle éclate de rire et me dit

-" Comment tu l’as appelé, Cochonou ? "

Et elle repart d’un grand rire Nous avons discuté et sympathisé.

 

 Pendant trois jours nous nous revoyons régulièrement avec ou sans Cochonou qui était en général derrière ou devant. Une grande complicité s’était installée. Elle s’appelait Sandrine Un après-midi pendant lequel Cochonou était parti à la pèche, elle me pose la question que j’attendais

-"et tu ne portes jamais de culotte ? "

Je lui ai expliqué les raisons multiples de mon choix, sensation de légèreté, de liberté de mouvement, part d’exhibitionnisme, sentiments d’excitation, désirs de provoquer, sentiments de puissance devant les hommes qui sont souvent interloqués au premier abord.

-" Et bien on va essayer dit elle en enlevant son string noir. " Elle s’est levée et nous sommes parties faire les magasins.

 

Finalement elle a trouvé cela très excitant et agréable. Elle avait une jupe courte légère un peu évasée et je pensais qu’heureusement pour elle ce premier jour il n’y avait pas de vent. On passe devant un magasin de chaussures, il y avait une vendeuse en mini accroupie et elle me dit "

tu penses qu’elle aussi a une culotte ?

" Je lui réponds,

-"va vérifier.

-" Oui, mais elle va voir que je n’en ai pas ?

Je le lui réponds "

eh! alors, ce sera ta première exhibition et tu pourras voir si cela t’as plu. !

 

Effectivement une fois que le dernier client que servait la vendeuse fut parti, Sandrine s’est assise à sa place avec une paire de chaussure à essayer. Ce que n’avait pas prévu Sandrine c’est que la banquette était en face d’un miroir et que ce miroir se reflétait dans la vitrine, si bien qu’étant à l’extérieur de la boutique on pouvait très bien distinguer l’entrejambe poilue de Sandrine, quand la vendeuse n’était pas devant.

Alors pour les badauds qui venaient admirer les chaussures, en regardant à l’intérieur du magasin c' était une autre vision. Ils attendaient patiemment que Sandrine ouvre les cuisses en essayant les chaussures et pouvoir admirer son petit minou poilu. La vendeuse qui devait en avoir vu d’autres ne manifestait aucun étonnement.

Finalement en sortant, Sandrine était très étonnée de voir tant de monde devant la boutique surtout sous le regard dédaigneux de quelques femmes et le regard admiratif des hommes. Elle m’a demandé de lui expliquer la situation, et comprenait qu’elle s’était ainsi sans le savoir exhibée devant plusieurs hommes et femmes.

 

On arrivait près de la gare, il y avait un sexe shop, j’ai acheté un gode, Sandrine m’a demandé pour quoi faire, je lui ai dit

-"tu verras plus tard. "

 Cela parut la satisfaire et je me doutais bien que la sexualité avec Cochonou devait être très triste. Par contre pour traverser les voies devant la gare, il y avait une passerelle, elle s’y dirigea volontairement et monta les marches, à la dernière elle s’arrêta une jambe sur une marche l’autre sur celle d’en dessous. Quand j’ai vu des gens en dessous qui attendait le train’j’ai compris son jeu. Elle voulait que les voyageurs la voient sous toutes les coutures.

 Elle était méconnaissable les yeux embuées dans le vague essayant toujours d’écarter le plus possible les cuisses. Moi qui étais déjà au même niveau qu’elle je savais que rien qu’en étant debout ils pouvaient aisément voir que nous n’avions pas de culotte. Bien entendu la station prolongée et la posture de Sandrine firent qu’un groupe d’hommes se concentra juste en dessous nous. Suffisamment excitées, nous traversons ensuite la passerelle pour aller sur le quai du TER .Comme deux zombies on pénétra dans le premier sans savoir ou il allait et sans billet (et sans culotte.)

C’était un vieux train à compartiments. On passait ainsi devant toutes sortes de stéréotypes, femmes avec enfants qui braillent, vieux qui toussent avec leurs chiens, beaufs qui mangent un sandwich à l’échalote, puis on passe devant un compartiment dans lequel il y avait quatre jeunes de banlieues qui évidemment s’empressent de siffler et de faire des commentaires Sandrine ne voulait pas entrer, mais je la poussais fermement. Les garçons nous laissèrent une place de chaque coté au milieu, si bien que nous étions toutes les deux entourées.

 

Sandrine était assise crispée, les jambes serrées Comme ils ne savaient pas quoi dire hormis des banalités, je me lève et soulève la jupe de Sandrine en disant

-"vous avez vu cette salope, elle ne met pas de culotte "

En plus en me penchant pour soulever celle de Sandrine, les deux autres pouvaient également voir que je n’en portais pas non plus. Alors des mains se sont mises à nous peloter à nous retrousser. Je me suis allongé sur la banquette jambes ouvertes soumises et offertes comme j’aime le faire quant la situation me plait. Sandrine par contre se débattait et criait, si bien qu’en désespoir de cause, les deux autres garçons après avoir fermer le compartiment sortirent également leurs queues en s’approchant de moi. Un m’avait enfilé, j’en suçai un deuxième pendant que les deux autres me pelotaient les seins en se masturbant.

 

 Je regardais Sandrine bouche bée qui me disait la phrase qui me touche tant

-"mais t’es une vraie salope "

C’est celui dans mon sexe qui a joui le premier il s’est retiré en laissant une traînée de foutre sur mes cuisses pendant qu’un deuxième s’installait à la place.je pense qu à l’époque je ne devais pas faire de bonne pipe car c’est de nouveau celui qui était dans ma chatte qui a encore éjaculé. Finalement le troisième s’est installé en disant avec plein de poésie

-"mais c’est un garage à bites cette pute là. "

 Celui que je suçais m’a balancé une rasade de sperme à travers la figure. Le train arrivait en gare, les garçons sont sortis en disant à Sandrine qu’elle devait regretter de ne pas en avoir goutté, mais je pense qu’elle n’était pas encore prête à ce genre de situation.

incroyable une perversité pareille!

Par coralie - Publié dans : récit
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés